http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/ours/France/Rapports-Etudes-Reflexions/2011-ONCFS-Rapport-Scientifique-Extrait-Commentaire.html
" Il est en effet surprenant d’avoir attendu 2011 pour se préoccuper de la dangerosité de l’ours dans les Pyrénées vis-à-vis de l’homme et de « certains aspects du comportement de l’ours, importants en termes de gestion des conflits avec l’homme ». Surtout que les conflits ne sont pas nouveaux. Mais rien concernant les conflits liés aux pratiques pastorales ou à la chasse. Manifestement, ces conflits n’existent pas ou sont accessoires pour cette institution.
Des cas d’étude Nous apprenons dans ce rapport qu’il a été relevé « 495 cas de rencontres homme-ours » relevés dans les Pyrénées françaises. Et il est fait une analyse de ces « rencontres » notamment « la réaction de l’ours et du type d’habitat ». Ce qui permet de « détailler les conditions d’observation de l’animal, son comportement et sa réaction lorsqu’il détecte la présence de l’homme ». Le problème est que l’ONCFS et notamment l’équipe de Pierre-Yves Quénette nous ont habitué à 30 ans de mensonges et de manipulations. En effet, on nous rabâche à longueur d’année qu’il est difficile, voire même impossible de voir un ours et peu probable de le rencontrer. Et là, comme par enchantement, nous découvrons au hasard d’un rapport qu’il y a eu 495 cas de rencontre ( NDLR cas répertorié par l'oncfs! surement plus)
Un débat sur la dangerosité ? Selon l’ONCFS : « Ces éléments de connaissance sur le contexte des observations visuelles et des rencontres homme-ours s’avèrent indispensables dans le débat sur la dangerosité de l’ours ». Le problème est qu’il n’existe pas de débat. Du moins public. Et s’il existe, où est-il ? "
" Il est en effet surprenant d’avoir attendu 2011 pour se préoccuper de la dangerosité de l’ours dans les Pyrénées vis-à-vis de l’homme et de « certains aspects du comportement de l’ours, importants en termes de gestion des conflits avec l’homme ». Surtout que les conflits ne sont pas nouveaux. Mais rien concernant les conflits liés aux pratiques pastorales ou à la chasse. Manifestement, ces conflits n’existent pas ou sont accessoires pour cette institution.
Des cas d’étude Nous apprenons dans ce rapport qu’il a été relevé « 495 cas de rencontres homme-ours » relevés dans les Pyrénées françaises. Et il est fait une analyse de ces « rencontres » notamment « la réaction de l’ours et du type d’habitat ». Ce qui permet de « détailler les conditions d’observation de l’animal, son comportement et sa réaction lorsqu’il détecte la présence de l’homme ». Le problème est que l’ONCFS et notamment l’équipe de Pierre-Yves Quénette nous ont habitué à 30 ans de mensonges et de manipulations. En effet, on nous rabâche à longueur d’année qu’il est difficile, voire même impossible de voir un ours et peu probable de le rencontrer. Et là, comme par enchantement, nous découvrons au hasard d’un rapport qu’il y a eu 495 cas de rencontre ( NDLR cas répertorié par l'oncfs! surement plus)
Un débat sur la dangerosité ? Selon l’ONCFS : « Ces éléments de connaissance sur le contexte des observations visuelles et des rencontres homme-ours s’avèrent indispensables dans le débat sur la dangerosité de l’ours ». Le problème est qu’il n’existe pas de débat. Du moins public. Et s’il existe, où est-il ? "
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