Pour que l'action de cette fédération continue penser a adhérer

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assemblée générale de la FAR

Pour une campagne et une montagne vivantes et dynamiques sans loup

AG





mercredi 6 novembre 2013

Double attaques: Le prèfet se rend sur place!

http://alpesdusud.alpes1.com/infos/infos-locales?view=info&id_news=26961

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La préfecture indique que la procédure d’indemnisation pourra être engagée immédiatement après confirmation de l'expertise et que l’éleveur peut en outre bénéficier d’un soutien psychologique. Le préfet se rendra sur place dans la matinée de jeudi avec les différentes organisations du monde agricole, et a d'ores-et-déjà appelé l'exploitant pour le soutenir.
"

La visite du préfet sur le terrain ne sert a rien si ce dernier n'est pas capable de prendre ces responsabilité et d'appliquer les lois françaises:
Il doit assurer la sécurité des biens et des personnes L111.1
Il doit protéger les troupeaux dans les zones a loups et a ours et assurer la pérennité des exploitation agricoles L113.1
...
or il semble totalement défaillant...  

 

17 commentaires:

  1. "Le troupeau était en alpage mais n'avait aucune mesure de protection"

    Encore un berger qui ne fait pas son travail, abandonne ses animaux dans la nature pour se plaindre ensuite des attaques de loup !

    J'espère qu'il ne sera pas indemnisé ce serait un scandale ! Les français en ces temps de crise ne supporteront pas de continuer à payer des tonnes de subventions puis des indemnisations pour engraisser ces bergers paresseux !

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    1. C'est l'état qui impose les loups c'est a lui de mettre en place des protections efficace! surtout que les lois l'impose a l'état: L111.1; L113.1

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    2. petit jean, l'image parfaite du véritable écologiste parrainant l'élevage industriel dans lesquels les animaux sont bourrés d'antibio et d'hormones, nourris avec des aliments polués mais d'autant plus protégés du loup qu'ils ne verront jamais le soleil....

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    3. S'ils y en a qui font des fixations sur les subventions, d'autres en font sur les écologistes...
      Un jour, j'ai pris conscience de ce qu'il passait dans les élevages industriels. Et alors, n'ayant pas accès à une viande de qualité (nous n'avons pas tous cette chance), j'ai sacrément revu à la baisse ma consommation de viande jusqu'à devenir presque végétarien.
      Et puis un autre jour, j'ai pris conscience des conflits entre bergers et faune sauvage. Alors, moi qui pourtant aimais bien le fromage au lait de brebis, j'ai tout de suite arrêter d'en acheter. Car je refuse de donner de l'argent à des gens qui veulent massacrer des espèces sauvages pour continuer à faire ce que bon leur semble.
      En résumé, je suis un écolo qui boycotte l'élevage indus (et si je le fait, c'est certainement parce que je suis écolo) mais qui emmerde aussi profondément les spécimens en votre genre.
      Cordialement,
      Longue vie au loup !

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    4. Je connais un médecin qui a fait les mêmes choix que toi: c'est sa fille qui a payer les pots cassés, malaise régulier, carences en tous genre, exemption total de sport pendant toutes sa scolarité...

      il y a mieux a faire: se battre pour que vive le pastoralisme et l'élevage

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    5. « Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. /…/ Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, les vergers traditionnels, les zones boisées (haies, bosquets champêtres, berges boisées). /…/ En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…). »
      ou : life Nature: Programme Life Nature , cher aux écolos
      réferentiel technique et économique sur le redéploiement du pastoralisme...
      Le pastoralisme est aujourd'hui considéré comme une solution durable a l'entretien des milieux en faveur de la biodiversité. Il est également un outil de préservations des milieux contre les incendies. Par ses multiples vocations, le pastoralisme est donc présent dans de nombreux documents de planification territoriales comme les documents d'objectif des sites Natura 2000 mais également les plans départementaux de défense de la forêts contre les incendies.
      Enfin, les résultats d'une expérience de 6 ans de restauration de 4 pelouses par débroussaillement et pâturage montrent que la richesse spécifique et le nombre d'annuelles et d'espèces rares ont augmenté, avec des maxima atteints 3 à 4 ans après débroussaillement. Le maintien ou la restauration de pratiques agro-pastorales extensives (combinaison de pâturage et d'entretien mécanique pluri-annuel), paraît donc indispensable pour conserver à long terme les pelouses calcicoles du Vercors.
      étude du cemagref :Les pratiques pastorales ancestrales participent à une forme d’équilibre et à la diversité des milieux de montagne que l’on connait actuellement.Elles sont notamment indispensables au maintien des prairies d’altitude riches en espèces végétales. Par exemple, la déprise de ces espaces conduit à une progression des ligneux (arbres ou arbustes) et une fermeture du paysage qui peut être néfaste à la biodiversité végétale ou animale..
      des actions de reconquête pastorale des gorges de l’Allier dans le cadre d’un contrat Natura 2000. « l’agro-pastoralisme » répond à plusieurs objectifs : ouvrir et maintenir les milieux propices à la diversité des habitats, à la chasse, et la nidification d’oiseaux protégés ; permettre de conforter l’activité économique de certains agriculteurs ; apporter une réponse aux enjeux environnementaux et paysagers, aux risques d’incendie ; faire des économies sur le débroussaillage des chemins ; contribuer aussi à l’accueil touristique par la réouverture des paysages.
      Certaines voies d’accès aux parcs draille, chemin creux, trop peu utilisées par le bétail et manquant d'entretien, deviennent impraticables et disparaissent dans la végétation.
      Au Royaume-Uni, la NSA met en garde contre les risques de sous-pâturage et rappelle que, grâce au pâturage, les ovins permettent de maintenir la biodiversité.
      Au cours des 20 dernières années, le gouvernement australien a acheté plus de 11 000 hectares de terres agricoles dans le nord de l’État de Victoria, afin d’arrêter le pâturage des moutons. Ils se sont aperçus que la biodiversité a été mise à mal, avec par exemple la baisse inquiétante des effectifs de certaines espèces animales comme le « Plains-wanderer », une espèce d’oiseau proche de la caille et certaines espèces végétales qui ne peuvent pas rivaliser avec des graminées dominantes et envahissantes. Ils ont donc fait machine arrière, encourageant le retour des ovins.
      Donc l'anonyme écologiste borné, qui est devenu vegétalien, choix que je respecte, devra donc continuer a donner de l'argent pour que le pastoralisme permette la survie des ongulés, entre autre, et favorise la biodiversité animale et végétale!

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    6. Et encore le vieux discourt de l'Homme indispensable à la nature !! Mais dites moi, comment la biodiversité a-t-elle fait pendant des milliards d'année sans l'Homme ?? Heureusement que Homo sapiens est apparue il y a 200 000 ans pour la sauver, sinon elle était perdu !!
      Vous me citez des dossiers que je ne connais pas, mais tout ce que je peux dire c'est que généralement, ce genres d'études aboutissent toujours à la même conclusions et servent toujours les même personnes : agriculteurs et gestionnaires.
      C'est cette logique qui nous à mener à construire les villes de que nous connaissons et qui n'ont aucune humanité. Cette logique qui dit que la nature est une garce qu'il faut combattre pour y apporter notre lumière !!! Qu'elle ne fait jamais les choses comme il faut, qu'il faut toujours que l'homme dans son infinie arrogance mette son grain de sel partout.
      Je ne me souci guère de la biodiversité car je sais que la gestion n'est pas la solution pour endiguer ce problème. Un écosystème a juste besoin de temps et d'espace pour en créer car cela se fait tout seul, sans l'aide de personne, et c'est justement ce que nous refusons catégoriquement car le temps et l'espace, c'est de l'argent pour nous. Plutôt que de maintenir artificiellement des espèces qui ne sont plus adaptées, pourquoi ne pas plutôt protéger celles qui le sont ?

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  2. encore un 'expert' auto proclamé de la conduite d'élevage.
    Petite question : comment sont gérés les troupeaux 'à viande' dans l'hexagone et ailleurs, avec ou sans présence du loup ?

    Motonton

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  3. Les ovins qui divaguent : un danger pour l'ecosystème :

    http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&ved=0CDAQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.ecrins-parcnational.fr%2Ftelechargements%2Fdoc_download%2F939-alpages--prevention-de-la-transmission-des-maladies-faune-troupeau.html&ei=hgN8UqzHMqeI0AXmqYEo&usg=AFQjCNGZe-b535UAW8F7N-BCab2BeFGpYw&sig2=r_QIzdUnTGQlr6i4SYFmYA&bvm=bv.56146854,d.d2k

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  4. Superbe document qui explique parfaitement que le loup et un parasite...
    Mais aussi que la faune sauvage est un réservoir de maladie pour les troupeaux qui sont assainis chaque hiver...

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    1. Ce document ne parle pas du loup...soignez vos obsessions....

      Et il explique comment les troupeaux à l'abandon contaminent les ongulés sauvages de leurs maladies...

      Ne vous étonnez pas si les gens mangent de moins en moins la viande de vos moutons malades !

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    2. parole d'expert !! Tiens expliquez nous comment se fait'il que la tuberculose se propage entre faune sauvage et animaux domestiques alors que dans la grande majorité des cas ce sont des troupeaux parqués qui en sont victime..

      Motonton

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  5. Prenons juste le cas de l’izard : Alors que 100% des troupeaux sont séropositifs (ce qui n’est pas le cas des animaux sauvages...) [source : ANSES]. Il y a une concordance nette entre niveaux de séroprévalences domestique et sauvage. Lien possible : L'établissement de relations de causalité n'est pas acquis à ce jour. Néanmoins, la mise en place de mesures de gestion pastorale reste primordiale. Pratiques à risques : Divagation des animaux domestiques dans les quartiers saisonniers et dans les zones refuge des ongulés sauvages de montagne. Eradiquons les moutons, pour les isards, les chasseurs s'en chargent.

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    1. Les populations d’isards situées à l’est des Pyrénées connaissent ces dernières années un certain déclin. Le suivi sérologique annuel réalisé par l’ONCFS dans les espaces protégés de montagne montre depuis plus de quinze ans une séroprévalence
      importante vis-à-vis d’un Pestivirus, agent pathogène isolé ultérieurement sur certains isards malades ou morts. La découverte de ce virus a conduit à étudier son infectiosité
      dans des conditions expérimentales en l’inoculant à quatre femelles en gestation, une d’isard et trois brebis. La femelle d’isard a donné naissance à un chevreau Infecté Permanent Immunotolérant (IPI), alors que chez les brebis seule une séroconversion tardive (l’animal réagit contre le virus en développant des anticorps pour le combattre) a été enregistrée avec naissance d’agneaux normaux.
      Quand aux chasseurs, sans eux il y bien longtemps que nombre d'espèces aurait disparues, car vous vous receillez bien tard pour vous occupez de la survie des éspèces. En fait vous vous reveillez seulment pour le loup et l'ours, le reste rien a foutre!

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    2. Et quelles espèces les chasseurs ont sauvé ??

      Les milliers de perdrix et de faisans qu'ils sont obligés de relâcher quinze jours avant l'ouverture pour avoir quelque chose à se mettre au bout du fusil ??

      Tous les petits carnassiers belettes, fouines, hermines qu'ils considèrent comme nuisibles alors qu'ils se nourrissent de rongeurs ?

      Les canards et les oies sauvages qu'ils mitraillent la nuit pendant la migration ?

      Tous ces rapaces et échassiers pourtant protégés mais que l'on retrouve pourtant criblés de plombs ?

      Les sangliers dont ils font exploser les populations en les nourrissant toute l'année ?

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  6. La fédération départementale des chasseurs a lancé une étude de faisabilité pour la réintroduction du chamois en Lozère en 2012. Aujourd’hui, les conclusions montrent qu’elle est possible.
    La Fédération départementale des chasseurs veut réintroduire l’animal dans la Loire, où il a disparu depuis 200 ans.
    Parallèlement, les programmes de réintroduction sont mis en place par le Parc naturel du Vercors et des associations de protection de la nature, associées ou non à la fédération de chasse.
    Réimplantation du lapin de garenne à Fragny
    Projet effectué en janvier 2007 et septembre 2007 sous l’égide de la Fédération Départementale des Chasseurs de Saône et Loire
    De même que sans les pècheurs qui ont été les premiers a lutter contre la pollution des rivères, il n'y aurait plus de truites nulle part, sayf bien entendu dans nos régions pastorales, ou nous vivons de et en accord avec la nature, sans produits chimiques ni hormones, ni antibiotiques pour nos animaux!
    chez nous l'ONF a introduit cerf et chevreuil afin de louer au plus offrant ses terres aux chasseurs des villes, spoliant les chasseurs autochtones pas assez fortunés des terres dont l'Onf a expopriés leurs ancètres!

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  7. Ensuite il y a les irresponsables chasseurs, qui ont relachés des cochongliers, et les irresponsables amis de petit jean qui ont relaché des loups!

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