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Tant que le loup et l'ours seront menacés en France, il faudra venir inlassablement les défendre contre ces bergers integristes qui veulent privatiser nos montagnes et éliminer la faune sauvage.
RépondreSupprimerSi pour défendre l'ours et le loup il te suffit de venir ici, alors continue. On s'occupe du terrain pour faire le ménage.
SupprimerFaut vraiment etre un malade mental pour tenir de tels propos.
Monsieur petit jean votre inculture ou votre militantisme vous aveugle!
RépondreSupprimerCar il vous suffira de vous rendre dans l'hôtel des impôts de l'arrondissement au service des hypothèques pour connaitre les propriétaires de chaque mètre carrée! ( l'administration comme la nature a horreur du vide, il y a donc des risques d'avoir 2 propriétaires pour un seul mètre carré, mais il n'y en a pas qui sont libre)
Comme toutes personnes qui se rend en montagne, vous êtes seulement toléré dans la propriété d'autrui...
Alors un peu de respect des propriétaires, des lieux, des pratiques ancestrales...
Quand on prétend respecter la montagne on ne milite pas pour l'extermination de la faune sauvage.
RépondreSupprimerVous ne voulez plus voir personne en montagne à part des bergers ? Et bien commencez par rendre l'argent des subventions payées par les impôts des français. On verra si vous êtes capables de vous débrouiller de manière indépendante !
Les bergers étaient en montagne avant les randonneurs. Le randonneur ne paie pas et ne participe pas à l'entretien de la montagne. Le berger paie et participe à l'entretien depuis des millénaires.
SupprimerConclusion : l'usager de loisir n'a rien à faire en montagne. il n'a pas sa place.
Je suis seulement le raissonnement imbécile de Petit Jean, notre bouffon inculte de servie
Merci à la Far pour toutes ces infos et votre constance, des "Petit Jean" il y en a eu et il y en aura encore, cela ne vous a jamais empêché d'avancer...
RépondreSupprimer« Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît » (Fernand Naudin/Lino Ventura).
Gengis Khan.
Une politique spécifique en faveur de l’agri-
RépondreSupprimerculture de montagne a été mise en place
depuis une trentaine d’années. La mesure
phare a été l’instauration en 1972 de l’indem-
nité spéciale montagne (ISM). Cette mesure,
appelée à l’époque « l’aide à la vache ton-
deuse », était destinée à rémunérer les ser-
vices rendus à la collectivité par les
agriculteurs de montagne en matière d’entre-
tien de l’espace. Elle apparaît ainsi, d’une cer-
taine façon, comme précurseur des mesures
agri-environnementales. Elle visait aussi à
compenser les surcoûts de l’activité agricole
en montagne et sa moindre productivité par
rapport à la plaine, et jouait de fait un rôle de
soutien des revenus agricoles.
petit jean est notre mascotte. A lui tout seul il représente l'intégrisme et la dictature de l'écologie profonde. Il aurait du postuler a la direction d'EELV.
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