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assemblée générale de la FAR

Pour une campagne et une montagne vivantes et dynamiques sans loup

AG





samedi 16 novembre 2013

découvrez le doc "Le loup dans la bergerie"

http://cote-d-azur.france3.fr/emissions/les-documentaires/actu/samedi-16-novembre-le-loup-dans-la-bergerie.html-0
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Un documentaire de 52’de Stéphane Lebard à voir sur l'antenne de France 3 Côte d'Azur le samedi 16 novembre à 15h25...

Le loup et le berger n’ont jamais fait bon ménage.
Depuis qu’il a été reconnu comme espèce protégée, les éleveurs ont le sentiment d’un combat inégal entre un animal qui s’attaque régulièrement à leurs troupeaux et eux, qui n’ont pas le droit de l’abattre.
Réalisé dans les splendides paysages des Hautes-Alpes et des Alpes-de-Haute-Provence, ce film montre le quotidien d’hommes et de femmes qui se sentent parfois sacrifiés, méprisés et dénoncés à tort.
L’élevage et le loup peuvent-ils vivre côte à côte ? Les diverses mesures mises en place protègent-elles vraiment les troupeaux ? Le loup est-il trop protégé ?
Un documentaire qui permet à chacun de mieux appréhender ces questions qui reviennent régulièrement au coeur de l’actualité.

Un documentaire de 52’ de Stéphane Lebard - Coproduction Mefise Production / France 3 Provence-Alpes & Côte d’Azur

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22 commentaires:

  1. Excellent documentaire traduisant fidèlement la réalité de la situation sur le terrain.

    L'aspect humain y est démontré avec la détresse de tous ces éleveurs impuissants face à toutes ces attaques.

    Dommage, (à mon sens) que les témoignages des bergers pourtant en "première ligne" y soient quasiment absents.

    A noter que j'ai proche de moi un éleveur qui vient de vendre la totalité de son troupeau, avec des prédations proche de la ferme et en montagne, il ne supportait plus ce harcèlement permanent et le stress qui en résulte.

    La prédation est l'unique raison de sa cessation d'activité.

    Il connait dés à présent, ce que c'est qu'une bergerie vide et surtout silencieuse....alors qu'il est né quasiment dedans.

    yeti05 (berger salarié).

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  2. C'est la crise. Or que voyons nous ? Des bergers qui lâchent leurs moutons dans la nature en demandant des subventions.
    Or à qui appartiennent ces alpages qu'ils investissent avec leurs troupeaux ? A l'état c'est à dire à l'ensemble des citoyens français.

    Non seulement ils ne paient pas les terres qu'ils s'approprient mais encore en plus ils exigent de plier ces territoires à leurs petits besoins egoistes !
    On croit rêver...ils n'ont qu'à acheter à l'etat les territoires qu'ils revendiquent pour le pasto-ralisme !

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    1. Notre Expert nous dit : les alpages appartiennent à l'état.
      et ils sont exploités gratuitement...
      on tient un grand champion !
      Encore une pépite !

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    2. Ce qui est incompréhensible c'est qu'il y ait encore des gens qui discutent avec un tel abruti ignorant. Ce n'est pas de la désinformation c'est de l'imbécibilité à l'état pure.

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    3. Et ce sont de tels ignorants qui prétendent "sauver la planète" , à se demander si elle ne se porterait pas mieux sans eux ...

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    4. Mais c'est vrai qu'il est marrant ce Petit Jean! Alors voilà, je suis éleveur-berger. C'est adire que je ne transhume pas et que j'ai mes brebis dans les pattes 365j/an... comme la majorité des éleveurs. Rappelons qu'il y a 12 mois dans l'année (on ne sait jamais...) et que l'emploi d'un berger reste une activité saisonnière. Mon troupeau entretient environ 450 ha autour de l'exploitation. 187 sont déclarés à la PAC car ma propriété, le reste est loué soit à des propriétaires privés (100ha) qui touchent un loyer et n'ont pas besoin d'entretenir leurs parcelles vis à vis des incendies (c'est une obligation légale chez nous) puisque ce sont les brebis et les chèvres qui s'en charge. Bénef: loyer+débroussaillage effectuée gracieusement. Nous louons aussi des pâturages communaux, certains exploité collectivement avec les autres éleveurs de la commune dans un groupement pastoral, d'autres exploités individuellement. Sur notre commune, c'est l'ONF qui gère les communaux et les domaniaux. Nous signons avec le maire et l'ONF une convention qui précise quand et comment la ressource fourragère doit être utilisée, règle la circulation motorisée, l'entretien et éventuellement la remise en état de la montagne et des équipements mais aussi...le loyer! C'est un bail, comme pour votre apprt'... Et enfin, nous louons à l'Etat des pâturages domaniaux, chez nous il s'agit de forêt de mélèzes essentiellement. Donc l'Etat nous demande de bien vouloir entretenir des sous-bois qui effectivement appartiennent à tout le monde, mais dans un milieu fermé et trés encaissé donc trés vulnérable à la prédation. Un loyer (modique) nous est également demandé. Et les guignols dans votre genre apprécient beaucoup ce genre d'endroit qui permet de ramasser des fraises des bois, des framboises ou des champignons sans se promener dans des forêts d'orties... A cause de la prédation, notre voisin d'estive à abandonné son pâturage domanial... qui est aussi un site natura 2000 pour le petit tétras. Le volatile est parti aussi...Curieux,non? Il faut croire que les brebis lui apportaient quelques choses que le loup ne lui apporte pas! Des insectes coprophages pour nourrir les poussins? les fraises? Framboises? milieu ouvert car pâturé? Tout ça à la fois en fait... Donc la prochaine fois que vous mettrez les pieds dans un alpage, il serait bon de vous mettre dans la tête que vous êtes forcement chez quelqu'un qui tolère votre présence, mais également que si vous pouvez y mettre les pieds, c'est que quelqu'un est passé avant vous pour nettoyer la nature, sans doute avec un troupeau... Et qu'en plus de produire un service (les fameuses MAE, normal qu'on soit payé pour service rendu à la collectivité, non?) pour votre confort, vous qui savez si bien nous cracher dessus et nous payons un loyer pour ça. Perso, c'est plus de 2 000€/an... Une paille!

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  3. Petit jean le spécialiste de la désinformation.
    Les pâturage appartiennent soit aux éleveurs, qui bénéficient du statut de propriétaires après avoir payé leurs taxes foncières. Soit à un ensemble de propriétaires y compris des éleveurs, y compris les communes, qui se regroupent en associations pastorales et qui louent leurs terres au bergers qui y pâture et qui bénéficient du statut de locataire, soit a des collectivités territoriales, qui louent leurs espaces, ou qui payent un berger pour entretenir leur espace privé etc etc.
    Toutes les parcelles composant la montagne ont un N° de cadastre et sont donc des terrains privés, qu'il soient la propriété de l'onf, des communes, des propriétaires terriens, qui peuvent décider de les laisser sans activités, de les louer, de les exploiter, de les clôturer. L'ensemble de ces propriétaires peuvent se regrouper en association foncières et décider par exemple d'en interdire les chemins, d'en interdire la cueillette,d'en clôturer le périmètre etc etc.
    Lorsque l'état voudra exploiter le gaz de schiste par exemple, il ne se gênera pas pour exproprier ou louer aux propriétaires quel qu'il soient en les indemnisant puis d'en interdire l’accès!
    Le pâturage de notre commune est un ensemble de terrains privés situés sur un site Natura 2000(communes et propriétaires,) regroupés en Association Pastorale, responsable par exemple du chalet du berger, berger qui s'engage à respecter la charte Natura 2000 mais qui est chez lui après avoir acquitter le loyer de + de 3000 euros.
    A la tienne Petit jean (l'abus d’alcool est nécessaire aux intégristes pour oser se regarder dans le miroir)

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  4. "Peu cher !" mais c'est un vrai "fada" ce Petit Jean ! Mais au moins il amuse la galerie n'est-ce pas?
    Où est-il allé cherché une histoire pareille celui-là ? Dans une guinguette ?
    Voilà que les montagnes appartiennent à l'état maintenant ! Elle est bonne celle-là ! Bientôt il y verra des éléphants roses aussi.
    Maintenant on a compris pourquoi des types de son genre se baladent en montagne comme s'ils étaient les maîtres des lieux en prétextant qu'ils ont payé leurs impôts ! C'est qu'ils sont allés boire un coup au bar de Petit Jean !

    Il vaut mieux retourner à ton absinthe Petit Jean, à ton comptoir de bistrot parisien, amuser d'autres ivrognes tout aussi décalés.
    Mais si tu t'aventures un jour en montagne, passe ton chemin humblement, sois reconnaissant qu'on t'entretient les chemins et les paysages au lieu de vociférer sur les vrais maîtres des lieux et ne dis surtout pas que tu t'appelles Petit Jean, nos patous ont beaucoup moins le sens de l'humour.
    Petite Jeanne d'arc.

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  5. Documentaire qui pourrait avoir de la tenue même en faisant parler toutes les parties à la condition d'éliminer les mensonges écologistes qui ne sont ni de l'information ni du documentaire mais de la manipulation.
    Il est possible de confronter des idées mais sur des bases saines.
    Pour cette raison de l'usage du mensonge comme argument admis par les journalistes qui ne vérifient pas le documentaire est altérée et ne présente qu'un intérêt assez secondaire.

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  6. Petite précisions: les terres de l'ONF ou des communes ne sont pas a tout le monde. ces terres sont privées pour preuve l'onf qui les louent aux chasseurs et au bergers, de même que les communes qui en font ce qu'en décide le conseil municipal. Pensez vous que le jardin du Luxembourg a Paris soit a tout le monde? Non il appartient a la commune qui a décidé de le mettre a la disposition du public jusqu'au jour ou elle changera d'avis!

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  7. J'aime bien ce blog, il s'y passe toujours quelquechose, et n'est jamais à court d'actualités.

    Gengis Khan.

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  8. Haha ! J'ai frappé où ça faisait mal ! La pseudo-indignation des pseudo bergers gavés aux subventions !

    Vous menez une activité économique qui n'est pas rentable, c'est à dire que, par pitié, l'Etat vous donne de l'argent pour jouer à élever des moutons. Dans ces conditions, avant de demander quoi que ce soit ou de vous plaindre pour quoi que ce soit soyez très prudents, et respectueux vis à vis des contribuables qui se saignent pour vous.
    Le loup lui n'a pas besoin de subventions pour vivre. Contrairement aux moutons.

    De toute façon les français boycottent de plus en plus la viande mouton car ils ont bien compris ce qui se cachait derrière un lobby haineux qui veut s'approprier la montagne. Après les loups et les ours vous vous en prendrez à quels animaux ? Les marmottes ? Les papillons ?

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  9. Quel inculte! comme tous ses semblables, il répète le discours des idéologues du sauvage sans chercher de lui même les renseignements ni être capable de quelque analyse personnelle que ce soit.
    1 - la rentabilité ... mais dans le contexte actuel combien de secteurs sont ainsi concernés qu'il est cependant indispensable de maintenir pour de multiples raisons dont ce qui reste d'indépendance nationale et la nécessité de prévoir l'inévitable retournement de conjoncture qui rendra à nouveau nécessaire nationalement ces productions.
    2 - le boycot de la viande de mouton pour les causes qu'il invente : quel âne!
    la dernière note de conjoncture de FranceAgriMer - 12 novembre - (bon, il connaît pas parce qu'il connaît rien!) souligne à la fois la vraie raison: cherté de cette viande surtout dans le contexte actuel, et une récente évolution: "reprise de la consommation des ménages depuis la fin du mois d’août" dans un contexte où par ailleurs diminuent les importations notamment de Nlle Zélande mais aussi d'Irlande et du Royaume Uni, ce qui justifie la nécessité de préserver des productions nationales pour, comme je viens de le dire, anticiper tout retournement de conjoncture national comme dans les échanges mondiaux.
    Mais j'en conviens tout ça c'est un peu compliqué pour un esprit simpliste et ignorant!!!!

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  10. a savoir, la filière ovine de qualité, soutenue par les seuls élevages qui sont la proie du loup, manque d'agneaux labellisé. Tout les petits éleveurs tirent leurs épingle du jeu par la proximité et la qualité de leur production. La filière lait elle aussi fortement impacté par le loup se porte a merveille.
    En réalité les intégristes travaillent pour les élevages industriels sans remords, car le plus important est d'assouvir leurs fantasmes quitte a détruire tout ce qui respecte la nature!

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  11. "La filière lait elle aussi fortement impacté par le loup se porte a merveille. " C'est drôle comme votre vision du monde est différente de celle de L'Institut de l'élevage (http://idele.fr/index.php?id=313&tx_atolidelesolr_atolidelesolr[controller]=idelesolr&tx_atolidelesolr_atolidelesolr[action]=recommends&tx_atolidelesolr_atolidelesolr[content]=10693&cHash=0eddbfad897d0fab412f80d33db2300e)

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  12. désolé votre lien ne marche pas.
    la filière lait et fromage ovins et caprins se porte à merveille, et c'est elle qui subit la prédation. Pas la filière Danone et autre que vous êtes entrain de conforter avec vos fantasmes du tout sauvage!

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  13. Nous pourrions aussi apprendre à Petit Jean que les subventions agricoles de la PAC permettent aux consommateurs d'acheter des produits en deçà de leur coût de revient : ce sont donc des subventions pour que le budget alimentation des ménages ne soit pas trop élevé (l'origine de la PAC vient de l'après-guerre). Plutôt que de subventionner les consommateurs on subventionne les producteurs. Sans les subventions sur les produits de base les consommateurs auraient à payer parfois 2 à 3 fois les prix actuels.

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    1. Depuis quand le mouton est un produit de base ?

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    2. y a pas que le mouton qui est de base !

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  14. Un produit de base, aussi appelé produit primaire ou bien primaire, est un produit vendu à des fins de production ou de consommation sous une forme naturelle ou normalisée. Il s’agit, par exemple, du pétrole brut, du charbon, du cuivre ou du minerai de fer, des diamants bruts et des produits agricoles
    La classification type pour le commerce international (CTCI) distingue cinq catégories principales (sections) de produits de base ou primaires:
    1 : les produits alimentaires et animaux vivants (CTCI section 0);

    A la tienne petit ...

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  15. "La filière lait elle aussi fortement impacté par le loup se porte a merveille. "

    C'est drôle comme votre vision du monde est différente de celle de L'Institut de l'élevage.

    Tappez dans un moteur : “Bergers demain. La filière ovine laitière française s'interroge sur son avenir »
    extrait :

    “la filière se trouve à présent face à de nouvelles difficultés qui engagent son avenir : dégradation de la pyramide des âges, surcharge de travail dans les exploitations, hausse des coûts de production, effets secondaires des crises rencontrées par d’autres filières européennes, menaces sur les débouchés du coproduit viande…”

    L’installation est aujourd’hui devenu un problème majeur, avec trop peu de jeunes qui s’installent par rapport aux éleveurs qui partent à la retraite ou parfois même abandonnent la production. Si jusqu’au début des années 2000 la filière ovine laitière pouvait s’enorgueillir d’avoir des éleveurs jeunes, ce n’est désormais plus le cas : entre les deux derniers recensements agricoles (2000 et 2010), la proportion de chefs d’exploitation de plus de 50 ans est passée de 26 à 37%. Compte tenu de cette évolution démographique, on peut s’attendre à avoir dans les années qui viennent une forte diminution du nombre d’exploitations détenant des brebis laitières?: elle devrait être deux fois plus rapide qu’au cours des deux dernières décennies. Cela pourrait conduire à avoir moins de 4 000 exploitations ovines laitières à l’horizon 2020.

    L’augmentation de la charge de travail liée à l’agrandissement des exploitations et à la diminution de la main-d’œuvre familiale, les problèmes d’accès au foncier ou de transmission du capital d’exploitation sont des raisons fréquemment évoquées pour expliquer la chute des installations. Mais la dégradation de la rémunération du travail apparaît de plus en plus comme étant un élément déterminant de la baisse d’attractivité du métier d’éleveur. Comme pour l’ensemble des secteurs d’élevage, les éleveurs de brebis laitières sont confrontés à une forte progression du coût des matières premières : aliments achetés, engrais, carburants… Entre 2005 et 2012, l’indice des prix d’achat des moyens de production agricole (Ipampa) pour la filière ovine laitière a bondi de plus de 30% alors que dans le même temps, le prix du lait a progressé de seulement 5 à 10% selon les bassins. Le plafonnement de la consommation de fromages au lait de brebis, tant en France qu’en Europe du Sud et aux Etats-Unis, a en effet fortement pesé sur les prix. D’autant plus que les crises connues par les filières espagnoles et italiennes ont laissé d’importants excédents et ont contribué à modifier la carte des échanges européens.

    Dans ce contexte, les éleveurs ont enregistré au cours de ces dernières années une baisse importante de leur revenu : en 2011, malgré la revalorisation des aides PAC, la rémunération moyenne des éleveurs suivis dans les Réseaux d’élevage n’a pas dépassé 0,8 SMIC par unité de main-d’œuvre dans les Pyrénées-Atlantiques et de 1,1 SMIC dans le bassin de Roquefort.

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  16. exact anonyme, on a les mêmes sources : idele et france AgriMer MAIS les pbs se posent essentiellement dans le rayon Roquefort comme le montrent les points de conjoncture de france Agrimer et après une période de hausse
    il faut ensuite voir en fonction de multiples paramètres, les races traites en sont un important lié à des systèmes d'élevage différents (la Lacaune n'est pas la Brigasque ou la Manech ou la Basco Béarnaise, pas la même dépendance aux inputs par ex.), les formes de fabrication et commercialisation aussi : des jeunes continuent à s"installer en fabrication vente directes pour brebis comme chèvres
    comme la viande ovine, c'est un produit cher dans le contexte économique actuel de la majorité des ménages, il y a cependant une reprise des achats depuis juillet et, hors rayon Roquefort, production et prix augmentent pour les pâtres pressées non cuites (volume +7,4%, prix + 0,6) et les prix pour ossau iraty(+2,1) où produc stationnaire (-0,1)

    faut tenir compte que dans le contexte actuel, "tout fout le camp"!!! fromages brebis chèvres hors système Roquefort (malgré légère reprise) résistent mieux, après, faut y insister, longue période très positive

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