http://www.ledauphine.com/environnement/2012/10/17/christophe-castaner-a-la-tete-du-groupe-national-loup
"Yves Derbez, président de l’association Éleveurs et montagnes, a participé à cette réunion où ont été présentés le bilan de l’ancien plan et les enjeux du prochain. « Nous avons enfin des raisons d’espérer » a-t-il déclaré, satisfait des « propositions intéressantes » rapportées par les deux experts mandatés par chacun des ministères représentés. « Delphine Batho nous a clairement fait comprendre qu’on ne peut plus continuer à dépenser sans compter pour le loup à un moment où il y a des restrictions budgétaires partout, poursuit-il. Il va falloir trouver des solutions et faire des économies. On nous parle de plan de gestion. C’est selon moi un point très positif. »
"
http://www.laprovence.com/article/actualites/alpes-a-la-recherche-dun-equilibre-entre-loups-et-eleveurs
"
Michel Papaud qui avait d'ailleurs appelé de ses voeux la définition d'un nouveau plan, estimant que "la régulation et l'idée d'un plafond de prélèvement sont illogiques vis-à-vis du loup comme de l'éleveur." Autrement dit, lorsque les conditions de protection sont remplies mais que la pression du loup se maintient, il ne serait pas inconcevable de passer directement au tir de prélèvement.
Même si le prochain plan loup ne sera validé qu'en mars 2013 (avec un pré-projet à définir d'ici la fin de l'année), la tendance semble être à l'assouplissement. En ouverture de la première réunion du GNL, Christophe Castaner a donc immédiatement déclaré que "le loup est aujourd'hui une menace pour l'élevage et le pastoralisme". Joint hier (lire ci-contre), le député n'hésite donc pas à parler de "l'échec des deux premiers plans loups" et de "la nécessité d'aider les éleveurs en renforçant la protection." Et de rappeler que c'est la première fois que l'on parle de "gestion et de régulation" du loup au sein d'un ministère de l'Écologie.
"
Nous prenons actes de toutes ces déclarations, nous espérons leurs applications le plus rapidement possible, nous attendons des actes pour concrétiser ce GNL et faire baisser le nombre de prédation
"Yves Derbez, président de l’association Éleveurs et montagnes, a participé à cette réunion où ont été présentés le bilan de l’ancien plan et les enjeux du prochain. « Nous avons enfin des raisons d’espérer » a-t-il déclaré, satisfait des « propositions intéressantes » rapportées par les deux experts mandatés par chacun des ministères représentés. « Delphine Batho nous a clairement fait comprendre qu’on ne peut plus continuer à dépenser sans compter pour le loup à un moment où il y a des restrictions budgétaires partout, poursuit-il. Il va falloir trouver des solutions et faire des économies. On nous parle de plan de gestion. C’est selon moi un point très positif. »
"
http://www.laprovence.com/article/actualites/alpes-a-la-recherche-dun-equilibre-entre-loups-et-eleveurs
"
Michel Papaud qui avait d'ailleurs appelé de ses voeux la définition d'un nouveau plan, estimant que "la régulation et l'idée d'un plafond de prélèvement sont illogiques vis-à-vis du loup comme de l'éleveur." Autrement dit, lorsque les conditions de protection sont remplies mais que la pression du loup se maintient, il ne serait pas inconcevable de passer directement au tir de prélèvement.
Même si le prochain plan loup ne sera validé qu'en mars 2013 (avec un pré-projet à définir d'ici la fin de l'année), la tendance semble être à l'assouplissement. En ouverture de la première réunion du GNL, Christophe Castaner a donc immédiatement déclaré que "le loup est aujourd'hui une menace pour l'élevage et le pastoralisme". Joint hier (lire ci-contre), le député n'hésite donc pas à parler de "l'échec des deux premiers plans loups" et de "la nécessité d'aider les éleveurs en renforçant la protection." Et de rappeler que c'est la première fois que l'on parle de "gestion et de régulation" du loup au sein d'un ministère de l'Écologie.
"
Nous prenons actes de toutes ces déclarations, nous espérons leurs applications le plus rapidement possible, nous attendons des actes pour concrétiser ce GNL et faire baisser le nombre de prédation
des actes il y en aura certainement, mais est-ce bien certain qu'en tuant plus de loups il y aura moins de prédations ? Si il y a une meute de 8 loups, et que vous en tuez 3 (ce qui ne s'est jamais encore fait, et serait donc un "acte" fort sur le plan politique... n'en reste-t-il pas d'autres ?
RépondreSupprimerCela a déja été prouvé en rhône alpes...
RépondreSupprimera chaque tir réussi les loups évitent les troupeaux au moins plusieurs semaines...
L'avantage si réellement vous en enlevez 3 sur 8 c'est que au lieu de tuer environ 400 ongulés dans l'années ils se satisferont de 250...
ah bon ? et quand 2 loups ont été tués chez JPJ dans le 38, il n'y a pas eu autant d'attaques après qu'avant ?
RépondreSupprimerQue viennent faire les espèces sauvages là-dedans, à part chercher l'amalgame politique opportuniste avec les chasseurs (et qui n'ets pas un argument recevable par Bruxelles)? La France utilise l'article 16 de la Directive HFF, alinéa "pour prévenir des dommages importants" ... si les dommages persistent malgré les tirs, comment les justifier ? Arrêtez de faire de la politique politicienne bas de gamme, vous valez mieux que ça .....
Erreur fatale!
RépondreSupprimerQuand un annonyme s'approprie un cas particulier comme exemple il vaut mieux bien le connaitre
Le seul lieu ou ont été tués simultanément 2 loups se trouve sur la commune d'Allevard.
Suite a ces prélèvement réalisés, les attaques qui était presque quotidiennes sur ce troupeau ce sont arrété, la fin de l'estive c'est terminé sans autres attaques...
Nous déplorons seulement que ces prélèvements est eu lieu aussi tard dans l'année...
.... ah bon, alors si l'estive s'est terminée ensuite, cela explique peut-être pourquoi les attaques ont cessé ????
RépondreSupprimerLa fin de l'estive ne veut pas dire le lendemain des tirs, mais de mémoire 4 semaines plus tard...
RépondreSupprimerdonc si au lieu d'attendre septembre pour tirer des loups cela ce fesait en mai ou juin dés les premières attaques cela permettrait a l'état de faire des économies en indemnisations