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Malgré les clôtures électriques, les patous et les tirs d’effarouchement, rien ne semble pouvoir empêcher le prédateur de s’en prendre aux moutons de Gilles Donzel. Même aux portes d’Entremont. En 10 ans, le berger a perdu une centaine de brebis et d’agneaux à cause du loup. Alors il n’en peut plus.
« Moi, à la base, je ne suis pas foncièrement contre le loup, mais comment peut-on continuer à travailler comme ça, avec des animaux qui osent attaquent en plein jour en alpage ou la nuit au milieu des maisons ? Les bêtes devaient rester au pré dans la vallée jusqu’au 11 novembre. Là, je vais devoir les rentrer et les mettre à la paille. Ça fait des frais en plus et l’herbe ne sera pas tondue. Mais ça, personne ne s’en soucie… »"
Toutes les propositions de l'administration et des intégristes de l'environnement sont appliqué et pourtant 9 attaques en 2 mois....
Si l'état veut que les éleveurs ovins disparaissent ou fassent du hors sol il faut le demander clairement.
Mais après il ne faudra pas se plaindre de problème de surpopulation comme il est si souvent à tort parlé de la Bretagne
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