http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2011/09/10/une-placette-d-alimentation-pour-favoriser-le-retour-des-vautours
"Phisel l’a installée de manière savante : suffisamment d’espace pour les grands rapaces, bien orientée pour l’envol et l’atterrissage, bien exposée pour la chaleur et bien en vue pour attirer ces grands oiseaux nécrophages...
Les derniers vautours ont été aperçus vers la fin des années 80. Le but de la placette est de les faire revenir sans réintroduction artificielle, en laissant faire la nature. »
Une expérience similaire a été tentée et réussie à Rémuzat (26). Ils ne sont pas encore revenus mais Michel Phisel, lorsqu’il construisait la placette, a remarqué deux vautours fauves qui tournaient au-dessus. « C’est bon signe », conclut-il en souriant."
les vautours fauves sont des prédateurs.
Si il en a vu en construisant la placette il suffisait qu'il les observe
au lieu de créer un lieu de nourrissage qui va faire exploser la population de ces vautours qui devient par la même occasion des animaux d'élevages!
quand a la légalité de ce site? je pense qu'il doit bien falloir regarder les textes car il y a d'immense chance que se soit interdit....
Pour que l'action de cette fédération continue penser a adhérer
Liste des pages
Page 1) accueil
Page 2) Communiqué de presse et publication
Page 3) Photo de prédation
Page 4) Attaques de loups sur l'homme
Page 5) Combien d'animaux cruellement massacrés par les loups en France?
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assemblée générale de la FAR
Pour une campagne et une montagne vivantes et dynamiques sans loup
AG
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Finaud de développer les vautours, là où la prédation ''loup'' est des plus importante....(plan de vitrolles est a côté d'Esparon).
RépondreSupprimerPas le temps de faire effectuer un constat ''loup'' que la brebis est nettoyée.
18 vautours sur la même carcasse dans le Devoluy....
De quoi fausser tous les chiffres et noyer un peu plus les eleveurs.
Certains élèvent des vautours, d'autres des subventions.
RépondreSupprimerChacun fait en fonction de sa sensibilité, et c'est très bien.
L'important, c'est de perpétuer les traditions.
Dans le sud des Alpes, c'est quand même une tradition à + de 50 000 €/an pour un troupeau de 500 brebis.
ça vaut le coup de faire discrètement payer les bobos-citadins pour la perpétuer.