Dans un communiqué http://www.aspas-nature.org/content/view/471/61/lang,fr/ , l'ASPAS titre : « Sournoisement, l’État cherche à éradiquer le loup »
ASPAS fait toujours preuve d’obscurantisme et de mauvaise foi. Des tirs de défense et de prélèvement ont été autorisés. L'ASPAS en a attaqué un certain nombre devant le Tribunal Administratif. Si, un temps, l'ASPAS obtenait gain de cause bien souvent pour des motifs de forme et non de fond, les préfets ont, depuis quelques mois, affiné la forme leurs décisions et et le fond de leur défense. Maintenant l'ASPAS perd et ne gagne plus de dommages et intérêts pour arrondir son budget.
Dans son communiqué, l'ASPAS indique le nombre d'autorisation fournie mais pas le nombre de loups tués. Peut-être n'y en a-t-il pas eu. Auquel cas, pourquoi faire tant de bruit ?
Et puis, il faudrait cesser de mentir. Comme toutes les associations écologistes, l'ASPAS a toujours prétendu qu'il n'y avait pas de problèmes de cohabitation hormis en France. Que tout allait bien en Italie, Suisse, Espagne, pays scandinaves et USA. Manque de chance, aujourd'hui rien ne va plus et tout se sait via Internet. Les associations contre le loup et l'ours existent partout et toujours pour les mêmes motifs. Mieux encore, le Montana veut tuer le 1/3 de son cheptel de loups gris. Alors cessons ce dogmatisme sectaire qui veut tout protéger au détriment systématique de l'élevage et de l'homme considéré comme l'être le plus dérangeant qu'il faudrait éliminer.
Regardons la situation en face. Le loup est bien une espèce protégée mais n'est pas une espèce en voie de disparition. Ayons le courage d'en tirer les conséquences.
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