http://www.kairn.com/article.html?id=2334
"un éleveur sans histoire qui ne souhaite pas s'exprimer devant la presse, va rendre visite à ses chevaux situés dans un enclos au fond de la vallée de l'Orle, à proximité du parking de « La Pucelle ». Première surprise, l'enclos est ouvert et les chevaux ont disparu. Dans l'immédiat, il pense à un petit conflit de voisinage local. Mais, très vite, il constate la présence inhabituelle de pots de miel dans lesquels il observe du verre pilé et... des pilules bleues. Pensant à une vengeance personnelle et que quelqu’un en voulait à ses chevaux, il prévient les gendarmes qui, eux, font une autre interprétation. Les chevaux ne mangent pas de miel, même pour les empoisonner, et de toute manière l'enclos est ouvert pour les faire partir. Au final, ce seront 37 pots qui seront découverts entre le parking et la prairie avec un agrainage au maïs. "
Les provocations des intégristes de l'environnement n'ont pas de limites...
... donc ce serait des intégristes de la protection de l'ours qui feraient ce genre d'action pour faire croire que ce sont des anti-ours qui les conduisent en fait ? Trop fort comme raisonnement simple et logique ! Mais c'est vrai: pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !!!
RépondreSupprimer16:14
RépondreSupprimerEn effet ce ne serait guère surprenant, d'autant qu'à cette époque les ours ne risquent rien puisqu'ils sont en hibernation.
Les partisans de réintroductions d'animaux étrangers sur notre territoire, eux n'hibernent pas, c'est le moins qu'on puisse dire...
"réintroductions d'animaux étrangers"
RépondreSupprimerLes partisans de la xénophobie pyrénéo-pyrénéenne n'hibernent pas non plus, c'est le moins qu'on puisse dire...