Le régime alimentaire du loup est au cœur de toutes les craintes face à son extension. Cette étude tente de comprendre, grâce à l’analyse du régime alimentaire, si l’Ouest et le Centre de la Pologne pourraient être de bonnes zones de recolonisation pour le loup. En étudiant les excréments du loup, il est possible de savoir quelles proies il a chassé et dans quelles proportions. Dans l’Ouest et le Centre de la Pologne, entre 2002 et 2009, le régime alimentaire du loup se compose de la façon suivante : 94,8 % d’ongulés sauvages (42,8 % de chevreuil, 22,6 % de sanglier et 22,2 % de cerf). Les autres proies sont des daims (2,7 %), des lièvres (2,5 %) et des castors (1,4 %). Les animaux domestiques, chiens et chats uniquement, représentent 1 % de la biomasse alimentaire.
La grande proportion d’ongulés sauvages dans la biomasse alimentaire montre que la nourriture sauvage est présente en quantité suffisante. Cette région pourrait donc être une bonne zone de développement du loup dans les prochaines années sans pour autant que les loups ne s'en prennent aux animaux d’élevage ou domestiques. [E.B.]
Nowak S., Myslajek R. W., Klosinska A., Gabrys G. [2011]. Diet and prey selection of wolves (Canis lupus) recolonising Western and Central Poland. Mammalian Biology 76 : 709-715-6 (7 p., 2 fig., 4 tab., 59 réf.).
"
http://www.foretwallonne.be/foret-mail.html
"Les animaux domestiques, chiens et chats uniquement, représentent 1 % de la biomasse alimentaire."
Soit il n'y a pas d'élevage dans cette région, soit il y a beaucoup plus de loup que l'on veut bien nous le dire en france même avec de l'élevage...
Mais des chiens et des chats avant de faire le poids des cerfs, sangliers...
La grande proportion d’ongulés sauvages dans la biomasse alimentaire montre que la nourriture sauvage est présente en quantité suffisante. Cette région pourrait donc être une bonne zone de développement du loup dans les prochaines années sans pour autant que les loups ne s'en prennent aux animaux d’élevage ou domestiques. [E.B.]
Nowak S., Myslajek R. W., Klosinska A., Gabrys G. [2011]. Diet and prey selection of wolves (Canis lupus) recolonising Western and Central Poland. Mammalian Biology 76 : 709-715-6 (7 p., 2 fig., 4 tab., 59 réf.).
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http://www.foretwallonne.be/foret-mail.html
"Les animaux domestiques, chiens et chats uniquement, représentent 1 % de la biomasse alimentaire."
Soit il n'y a pas d'élevage dans cette région, soit il y a beaucoup plus de loup que l'on veut bien nous le dire en france même avec de l'élevage...
Mais des chiens et des chats avant de faire le poids des cerfs, sangliers...
Nos pseudos spécialistes ont tout à apprendre. Et c'est parce qu'ils sont nuls que nous avons des problèmes.
RépondreSupprimer"c'est parce qu'ils sont nuls que nous avons des problèmes. "
RépondreSupprimerOn est rassuré :
pendant un instant, on a cru que nous étions condamné à disparaître faute de rentabilité, avec ou sans loups.
Mais si c'est à cause des spécialistes écolos, tout va bien :
il suffit de les empêcher de s'exprimer et les problèmes économiques seront résolus.
Il suffit de renvoyer les loups en italie...
RépondreSupprimerComme cela nos éleveurs pourront passer plus de temps a la commercialisation de leurs produits, a améliorer leurs technicités... cela permet de compenser la distorsion des engagements internationaux...
rentable