“J’ai décidé d’arrêter avant de péter les plombs”

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2012/04/20/j-ai-decide-d-arreter-avant-de-peter-les-plombs

"La faute au loup, devenu objet de toutes les conversations, en famille comme avec les amis, l’animal est entré petit à petit dans son quotidien et a fini par « le rendre invivable ».
« À force de rejoindre le troupeau avec un nœud dans l’estomac, craignant qu’une bête manque à l’appel, c’est devenu une psychose. J’ai décidé d’arrêter avant de péter un plomb. Je ne l’ai vraiment pas fait de gaîté de cœur. Je n’en suis pas fier, mais je ne pouvais plus continuer. » Le premier janvier dernier, il a donc vendu ses 400 “bêtes” et a cessé son activité"


Un exemple de plus de ce qui se passe régulièrement sur le terrain,
silencieusement d'habitude...

Un éleveur, change de production,
limite un atelier,
un double actif arrête,
un éleveur ne cherche pas de repreneur,
ou se reconverti,...

sans faire de bruit car pour l'éleveur c'est un echec,
 voir une humilliation
car ce n'est pas de la volonté de l'éleveur,
 mais contraint et forcé,
 a bout de force
épuisé nerveusement et physiquement que la mort dans l'ame ils sont contraint de céder!