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assemblée générale de la FAR

Pour une campagne et une montagne vivantes et dynamiques sans loup

AG





dimanche 4 mars 2012

Ritorno del lupo: sulle Alpi la convivenza è problematica

http://www.ruralpini.it/Commenti22.02.12-Convivere-con-il-lupo.htm
ou en français traduit par automate:
http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=it&u=http://www.ruralpini.it/&ei=rN5TT6LxFuKl0AX82uH8Cg&sa=X&oi=translate&ct=result&resnum=1&sqi=2&ved=0CCsQ7gEwAA&prev=/search%3Fq%3Druralpini%26hl%3Dfr%26biw%3D1366%26bih%3D563%26prmd%3Dimvns

Retour du loup:
Alpes est la coexistence problématique
"
Senza il pastore crolla un ecosistema

Se l'uomo, se  il pastore abbandona la montagna, crolla un ecosistema. Se smettesse lui, venderanno le pecore tutti quei piccoli appassionati che ne tenevano cinque, dieci, cinquanta nel fondovalle e gliele affidavano per l’estate. Così si smetterà di falciare quei prati che servivano per il fieno. Sarà abbandonata la montagna, sarà abbandonato lo spazio intorno alle frazioni in basso. Andranno a perdere anche i sentieri che salgono all’alpeggio, quei sentieri che ogni volta che li percorrevi sistemavi una pietra, toglievi un ramo, davi due colpi di zappa perché le bestie passassero con meno pericolo… e con loro anche gli escursionisti che sarebbero venuti dopo. Non ci sarà più la fontana vicino alle baite. Per chi la montagna la frequenta da turista, è più facile godere della vista di un gregge di pecore che non riuscire a scorgere un lupo. L’escursionista di passaggio, magari in difficoltà per qualcosa lassù dove non prende nemmeno il telefonino, al pastore poteva sempre chiedere aiuto, un’indicazione o anche solo scambiare quattro chiacchiere. "

A lire pour ceux qui ont le temps

Le problème semble même d'un coté comme de l'autre des alpes, là bas si la présence des loups fait abandonner un alpages, ou des pâturages ce sont des écosystèmes complets qui s'écrouleront et seront chamboulé et appauvri


6 commentaires:

  1. Traduction
    Sans le berger l'écosystème s'écroule .
    Si l'homme, si le berger abandonne la montagne, un écosystème s'écroule. Si lui s’arrête, ils vendront leurs brebis tous les petits amateurs qui en élevaient cinq , dix, cinquante au fond de la vallée et qui les lui confiaient pour l'été. Ainsi on arrêtera de faucher ces près qui servaient pour le foin . Elle sera abandonnée la montagne, il sera abandonné l'espace autour des hameaux en bas. Seront perdus aussi les sentiers qui montent à l'alpage, ces sentiers où chaque fois qu'on passe on arrange une pierre on enlève une branche , on donne deux coups de "pioche" pour que les bêtes passent avec moins de danger.... et avec elles les randonneurs qui seraient venus ensuite. Il n'y aura plus la fontaine près du chalet. Pour qui fréquente la montagne en touriste , il est plus facile de jouir de la vue d'un troupeau que de ne pas réussir à apercevoir le loup. Le randonneur de passage, peut être en difficulté là ou ne passe pas le portable, pouvait toujours demander de l'aide au berger, une indication ou aussi seulement échanger quelques mots.

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  2. "Sans le berger l'écosystème s'écroule"

    Mon Dieu, mon Dieu, mais c'est terrible !!!

    Et comment se débrouillait l'écosystème quand il n'y avait pas de moutons ?

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  3. Vous n'étiez pas nés, moi non plus!

    Car il y a plus de 3 000 ans de pastoralisme!

    Mais comme cela a déja été démontrer la présence des troupeaux est positive pour la biodiversité avec un plus grand nombre d'espèce tant faunistique que floristique...

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    1. "Mais comme cela a déja été démontrer la présence des troupeaux est positive pour la biodiversité avec un plus grand nombre d'espèce tant faunistique que floristique..."

      Et tout ça va donc se réduire, mais c'est tragique !

      On s'en remettra pas, moi j'vous l'dit...

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  4. Ils s'en foutent ces guignols verdatres des milieux, des hommes et de la biodiversité.
    c'est juste pour esperer voir cette nature qu'ils idealisent au mepris de tout le reste

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  5. "Mais comme cela a déja été démontrer la présence des troupeaux est positive pour la biodiversité avec un plus grand nombre d'espèce tant faunistique que floristique..."

    Il a aussi été démontré que le nombre d'espèce faunistique présentes dans un zoo est bien supérieur à celui d'une prairie pâturée.
    Même chose pour les espèces floristiques dans un arboretum.

    Conclusion de votre logique :

    Plutôt que de gaspiller 500 millions d'€/an pour produire du mouton, lançons nous dans un vaste plan de création d'aroboretum-zoos.
    En plus, on pourra faire payer l'entrée aux bobos des villes.

    Merci pour cette vison d'avenir...

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