Sur une place les Francis Girard pour la confédération paysane et Philippe Favre pour la FDO 83 ont pris la parole pour expliquer le défilé et annoncer le débat ,qui aura lieu a la foire dans la salle de la piscine, dont l'intitulé en a surpris beaucoup: "Le loup est-il soluble dans le pastoralisme"
Certaine pancarte réclame des actions rapidement pour sauver l'élevage en voie de disparition contrairement aux loups dont les éffectifs en france progresse de 30% par an
Le mouton dit au loup " alors, tu fait moins le malin, là"
Le loup lui répond:" Pourtant on m'avait promis l'imunité.."
"5 Fruits et légumes par jour"
" Ne vous moquez pas! A cause de la crise, mon éleveur cherche à se reconvertir en toiletteur pour chien. Vous rigolerez moins quand ce sera votre tour!"
La plus part des photos sont ci dessus pour le résumé du débat rendez vous prochainement...
"Nous présentons nos excuses aux organisateurs pour avoir appeler cet évenement manifestation alors qu'il ne s'agissait que d'un défilé de brebis dans la bonne humeur."
RépondreSupprimerQuand une manifestation est un échec, on appelle ça un défilé de brebis...
Peut être que les éleveurs se rendent compte de plus en plus que leur survie ne passe pas spécialement par la régulation du loup, mais par le maintien, d'abord, puis l'accroissement, ensuite, de plantureuses subventions.
A part quelques intégristes, bien-sûr.
D'ailleurs il en faut.
En tous cas, il y en a...
"Et s'il n'en reste qu'un je serai celui la" Cette phrase est de Victor Hugo s'opposant à Napoléon III. Victor hugo n'est pas un looser que je sache, en l'espèce on étaient plus d'un à cette manifestation en sus des Brebis et chèvres,par ailleurs elle a été relayée par les médias. Tu ne peux donc pas parler d'echec. L'ironie est l'arme et l'excuse facile de ceux qui ne font rien.
RépondreSupprimer"L'ironie est l'arme et l'excuse facile de ceux qui ne font rien."
RépondreSupprimerVous avez raison :
Qui tente rien n'a rien.
Et qui tente n'importe quoi n'a pas grand chose.
N'est pas Victor Hugo qui veut.
Il y a des tas de gens, comme vous, qui sont incapables d'ironie et qui ne font rien quand même...
c'est "Qui NE tente rien n'a rien" toi non plus tu n'es pas Victor Hugo question Français. Je suis capable d'ironie mordante voire socratique quand elle est utile et constructive (Pour preuve ma remarque que tu as reprises ad literam). Ta solution est donc de ne rien faire, tu as raison, garde la pour tes idées.
RépondreSupprimer"Je suis capable d'ironie mordante voire socratique"
RépondreSupprimerEuh... elle est où "l'ironie mordante voire socratique" ?
T'as raison encore une fois : je ne suis pas Victor Hugo.
Mais moi, je ne me compare pas à lui pour justifier un positionnement archaïque.
La solution de ne rien faire est efficace :
2 loups en 1992
200 en 2012.
Rien faire, c'est bien...
En fait il n'y pas 200 loups mais 400 (aller à la manifestation et au débat m'aura au moins permis d'avoir les chiffres exacts). Je ne vois pas en quoi réclamer une régulation concernant les loups afin que les éleveurs ou bergers puissent travailler dignement et les brebis paturer paisiblement est un positionnement "archaique". Je préfère etre un simple épigone de Victor Hugo qu'un néo-mouton de Panurge qui ne fait rien, d'ailleurs les brebis ont défilé elles, prouvant ainsi qu'elles n'ont de bete que le nom...
RépondreSupprimerSeulement 400 loups ?
RépondreSupprimerMoi qui croyait qu'ils se multipliaient par scissiparité ou parthénogenèse pour être des milliers en quelques mois...
En tous cas, merci pour cette leçon de VictorHugo-socratisme : ça m'a estomaqué.
Et ça me donne une idée pour ce soir : faire griller une bonne tranche de gigot néozélandais à votre santé...
Miam !!!
C'est super: tu as ouvert un dictionnaire (ou un vieux cours de biologie?): j'en suis ébaubi! La souffrance animale et les conditions de travail des éleveurs est un sujet qui ne prete guère à rire,la pseudo-légèreté de tes propos ne masquent pas une absence totale d'argument.Tu as raison va te repaitre d'hormones néozélandaises je pense que c'est la meilleure idée que tu aura de la journée.
RépondreSupprimer"la pseudo-légèreté de tes propos ne masquent pas une absence totale d'argument"
RépondreSupprimerMais moi, j'ai pas à avoir d'arguments, tu l'as dit toi même :
Selon les sources, entre 200 et 400 loups en France !
En juste 20 ans.
Les résultats, ça vaut tous les arguments du monde...
Allez ce soir, une côtelette de Nouvelle-Zélande, et demain, une tranche de gigot australien !
De quoi faire une dégustation comparative.
A la santé de Socrate et Victor Hugo!
Et ne copie pas trop sur Socrate : la ciguë, il y en a qui ont essayé, ils ont eu des problèmes...
Cet échange (confrontation) d'amabilités montre bien le décalage qui existe entre les préoccupations des éleveurs et du monde rural en général d'une part, et des citadins qui sont juste en recherche d'un peu de verdure pour quelques jours histoire d'échapper à leur quotidien bétonné d'autre part...
SupprimerSauf que ces derniers, tellement déconnectés de la réalité à force de télé, journaux (torchons), internet et pubs dans le métro , n'imaginent même pas que la nature dans laquelle ils s'éclatent (et laissent leurs papiers gras) durant quelques jours par an est façonnée au quotidien depuis des millénaires par les paysans, qui sont, ne l'oublions pas, les gens qui nous nourrissent.
Sans ces derniers, les stations de ski, pour ne prendre que cet exemple, ne seraient que des forêts de mélèze ou de broussailles... moins sexy et moins pratique pour le schuss et le tire-fesse !
Alors vos joutes rhétoriques sont bien rigolotes (ou lamentables), mais ceux qui souffrent au quotidien (les brebis et leurs éleveurs) de la présence du loup, des routes surfréquentées, du bétonnage et du clôturage à outrance, eux n'en sont pas là et sont totalement inaudibles face à la force médiatique des extrémistes soi-disant pro-nature.
En plus, ils ont été savamment achetés par l'Etat (via la fameuse "mesure 323-c") et se retrouvent dans tous les cas montrés du doigt.
Si votre modèle de société repose sur des mégapoles entourées de quelques hectares de nature artificiellement sauvage, nourries par des "aliments" venus de l'autre bout de la planète à grand renfort de pétrodollars et de dumping social, libre à vous.
Moi, je préfère manger de la viande, des fruits et des légumes qui viennent de mon canton, produits par des agriculteurs que je connais et dont je connais les méthodes de travail et l'impact sur mon cadre de vie plutôt que de cautionner un système à la "Meilleur des mondes"...
Mais peut-être ai-je quelques siècles de retard...
Waouaw !!!
SupprimerQuel haut niveau de qualité rédactionnelle !
Et comment que c'est argumenté puissant !
ça donne le vertige.
Et la seule chose qui donne vraiment le vertige, c'est le vide...
Dans certains cas, le vertige est plutot causé par un abus d'hormones néozélandaises...ou le fait que l'on est "un nain sur les épaules d'un géant" dixit Bernard de Chartres.
RépondreSupprimerDe Dieu, mais y a du commentaire cinglant et pertinent !
SupprimerOn dirait une poule qui a trouvé un dictionnaire et qui sait pas à quoi ça sert...
Et Chrétien de Troyes ?
Tu l'as pas encore cité Chrétien de Troyes !
Crétin de toi, ventrebleu !
hé bêêêêh !!!
RépondreSupprimerVoila quelqu'un qui en un propos élliptique, pertinent et non dénué d'humour, vient recentrer le débat sur ce qui nous préoccupe depuis le début:comment permettre à nos amies les brebis de paturer paisiblement?
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