L'ADDIP communique : suite à la battue aux ours organisée sur la commune de St Lary (Ariège) le 27 juillet dernier, veuillez trouver ci joint une « Lettre ouverte de l’ADDIP au Président de la République : ours, Pyrénées, de 1991 à 2013, un scandale d’État » accompagnée du dossier joint qui prouve ce scandale. Sans les mensonges de l’État, les ours slovènes n’auraient jamais été là : toutes les suites du programme ours découlent de cette escroquerie initiale qui met en jeu la morale républicaine et la confiance des citoyens en leur État, ici sérieusement atteinte.
Le Président de la République assure « le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État ». Cette continuité concerne aussi les faces sombres de notre République, et dans le cas de l’ours il ne s’agit rien moins que d’une escroquerie d’État sans laquelle il n’y aurait jamais eu importation d’ours slovènes dans les Pyrénées.
L’État doit assumer ce dysfonctionnement et en tirer les conséquences : enlever ces ours, les placer en un lieu où ils ne nuiront à personne. Il est inadmissible de continuer à faire payer à ceux qui ne le voulaient pas les conséquences de ce qui est une escroquerie d’État alors que l’Europe elle-même en a tiré les conclusions que montre le dossier joint : stop aux réintroductions « à cause de l’opposition des populations locales. »
Pour l’ADDIP, sa Présidente,
son chargé de recherche et porte parole
Le Président de la République assure « le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État ». Cette continuité concerne aussi les faces sombres de notre République, et dans le cas de l’ours il ne s’agit rien moins que d’une escroquerie d’État sans laquelle il n’y aurait jamais eu importation d’ours slovènes dans les Pyrénées.
L’État doit assumer ce dysfonctionnement et en tirer les conséquences : enlever ces ours, les placer en un lieu où ils ne nuiront à personne. Il est inadmissible de continuer à faire payer à ceux qui ne le voulaient pas les conséquences de ce qui est une escroquerie d’État alors que l’Europe elle-même en a tiré les conclusions que montre le dossier joint : stop aux réintroductions « à cause de l’opposition des populations locales. »
Pour l’ADDIP, sa Présidente,
son chargé de recherche et porte parole
La lettre ouverte
Le dossier
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