http://www.journaldemontreal.com/2013/08/27/sauve-par-un-automobiliste
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Comment à l’habitude, je suis parti de ma résidence, en vélo. Entre le kilomètre 218 et 219, j’ai vu du coin de l’œil la tête du loup, la bouche ouverte avec ses grosses dents», raconte la victime.
Soudainement, la bête saute sur le cycliste. «Il a fait un bond et m’a renversé sur le côté. Malgré le fait que je roulais à grande vitesse, j’ai été projeté violemment comme si je venais de frapper un mur, en plein centre sur la ligne blanche de la voie double.»
Il perd son souffle
Le loup le regarde le cycliste blessé dans les yeux et se prépare pour l’attaque finale. «J’ai complètement perdu le souffle et je ne réussissais pas à le reprendre. Blessé au genou, à l’un de mes bras, côtes renfoncées et hanches irritées, j’ai finalement réussi à me lever», ajoute la victime.
«J’ai placé le vélo entre nous deux. Seulement trois ou quatre pieds nous séparaient. On aurait dit que ça le déstabilisait. Soudainement, une automobiliste est passée devant nous sans s’arrêter. Je ne suis pas peureux de nature, mais j’étais certain de mourir.»
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Faut-il attendre la même chose en France pour que l'état réagisse et tente de revenir dans la légalité?
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Comment à l’habitude, je suis parti de ma résidence, en vélo. Entre le kilomètre 218 et 219, j’ai vu du coin de l’œil la tête du loup, la bouche ouverte avec ses grosses dents», raconte la victime.
Soudainement, la bête saute sur le cycliste. «Il a fait un bond et m’a renversé sur le côté. Malgré le fait que je roulais à grande vitesse, j’ai été projeté violemment comme si je venais de frapper un mur, en plein centre sur la ligne blanche de la voie double.»
Il perd son souffle
Le loup le regarde le cycliste blessé dans les yeux et se prépare pour l’attaque finale. «J’ai complètement perdu le souffle et je ne réussissais pas à le reprendre. Blessé au genou, à l’un de mes bras, côtes renfoncées et hanches irritées, j’ai finalement réussi à me lever», ajoute la victime.
«J’ai placé le vélo entre nous deux. Seulement trois ou quatre pieds nous séparaient. On aurait dit que ça le déstabilisait. Soudainement, une automobiliste est passée devant nous sans s’arrêter. Je ne suis pas peureux de nature, mais j’étais certain de mourir.»
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Faut-il attendre la même chose en France pour que l'état réagisse et tente de revenir dans la légalité?
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