http://www.lenouvelliste.ch/fr/valais/des-idees-radicales-pour-regler-le-cas-du-loup-490-1194007#publish
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Deux députés proposent de faire fi des règles internationales pour régler le problème du loup.
Loup s’est invité dans le débat sur les comptes de l’Etat du Valais. Les chrétiens-sociaux du Haut, par Urban Furrer veulent que le loup, qui fait actuellement un carnage dans le Haut, soit abattu, «Convention de Berne ou non», commente-t-il. A ses yeux, «on ne peut pas laisser nos animaux sans défense à cause d’une minorité avide de sang».
Le député Grégory Logean (UDC) est encore plus clair dans ses propos: «Avec un fusil et une boîte de cartouches on pourrait économiser pas mal d’argent dans la gestion du loup.»
De son côté, le conseiller d’Etat Jacques Melly constate qu’en raison de la présence des grands prédateurs, loup, mais aussi lynx, «nous ne pourrons plus alper nos ovins», dans certaines régions des Alpes valaisannes. Ce retrait agricole va rapidement provoquer un avancement de la forêt et des friches, ce qui va diminuer l’attrait touristique des zones concernées. «Les politiques sectorielles se contredisent», constate Jacques Melly.
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Nous ne connaissons pas le poids juridique de la convention de berne en suisse, mais en France celui-ci est nul, les politiques citent souvent cette convention pour étaler leurs savoir alors que cela constitue une insulte pour les éleveurs...
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Deux députés proposent de faire fi des règles internationales pour régler le problème du loup.
Loup s’est invité dans le débat sur les comptes de l’Etat du Valais. Les chrétiens-sociaux du Haut, par Urban Furrer veulent que le loup, qui fait actuellement un carnage dans le Haut, soit abattu, «Convention de Berne ou non», commente-t-il. A ses yeux, «on ne peut pas laisser nos animaux sans défense à cause d’une minorité avide de sang».
Le député Grégory Logean (UDC) est encore plus clair dans ses propos: «Avec un fusil et une boîte de cartouches on pourrait économiser pas mal d’argent dans la gestion du loup.»
De son côté, le conseiller d’Etat Jacques Melly constate qu’en raison de la présence des grands prédateurs, loup, mais aussi lynx, «nous ne pourrons plus alper nos ovins», dans certaines régions des Alpes valaisannes. Ce retrait agricole va rapidement provoquer un avancement de la forêt et des friches, ce qui va diminuer l’attrait touristique des zones concernées. «Les politiques sectorielles se contredisent», constate Jacques Melly.
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Nous ne connaissons pas le poids juridique de la convention de berne en suisse, mais en France celui-ci est nul, les politiques citent souvent cette convention pour étaler leurs savoir alors que cela constitue une insulte pour les éleveurs...
La France veut acheter douze drones américains pour 670 millions d'euros. yaka les utiliser..., à ce prix là !
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