Le loup encore.... En Espagne dans le massif Catabrique – Picos de Europa

Contrairement à ce qui nous est dit en France, tout le monde dans ce massif, proteste à l'unisson. Les éleveurs et les chasseurs estiment que la mauvaise gestion du loup est en train de détruire le peu de ressources que possèdent les régions défavorisées. Les partisans du loup, au fond de leur bulle protectrice complètement floue sont inconscients du drame qui écrase les familles qui vivent de l'élevage de bovins.
Dans cette région, pas de problème avec les ovins, il n'y en a pratiquement plus. Ce sont les bovins et les équins qui subissent jusqu'au jour où il n'y en aura plus.
Nous avons ici le parfait exemple de mensonge diffusé en France notamment par Sylvain Tesson qui a exprimé dans Nice-Matin du 8 juin 2013 toute la profondeur de son ignorance sur la problématique du loup en Espagne. Serait-il un propagateur de l'idéologie suicidaire écologiste ?


Et on nous dira que le loup tue sans faire souffrir. De qui se moque-t-on ?
Selon des associations écologistes et de défense des grands carnivores, le loup tue pour manger et ne fait pas souffrir ses proies. En voyant ces images, comment peut-on y croire ? Et il y a pire.
Le plus dramatique est de savoir que des intellectuels, des scientifiques et des chercheurs s'associent aux thèses de ces associations que l'intégrisme jusqu'au boutiste du tous sauvage rend sourd et aveugle .
Voir photos : les 2 veaux sont morts

(ce n'est pas une traduction)
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"El lobo otra vez".
Protesta la voz del campo al unísono. Ganaderos y cazadores ven como una gestión poco eficaz de esta especie, está acabando con los pocos recursos de comarcas deprimidas. Los defensores, ajenos al drama que representa, sumidos en su burbuja proteccionista completamente desenfocada, no aciertan a entender que se está "machacando" a las familias que viven del ganado, que cobran tarde o nunca los daños del lobo y jamás lo que les corresponde, es decir, los daños sufridos y los perjuicios ocasionados por el ataque.
Los cazadores vemos como el monte se arrasa bajo la presión de manadas incontroladas, con la incidencia económica que esto representa. Se avistan grupos de mas de diez individuos, una auténtica rehala de lobos batiendo el monte, y sin embargo, siguen sonando con fuerza quienes dicen que no hay. Tenían que ser ellos quienes pagasen los daños de su bolsillo, a ver si entonces gritaban igual...