http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2012/09/25/les-vautours-dans-le-collimateur-des-syndicats-agricoles
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Du côté de la préfecture, on indique que les carcasses des bêtes donnent lieu à indemnisation dès lors qu’elles peuvent être recensées. « Lorsque l’ONCFS procède aux constatations, on conseille effectivement aux éleveurs de mettre les carcasses à l’abri, sous une bâche par exemple. Et ensuite on procède à l’autopsie. Ces bêtes sont comptabilisées au même titre que les autres en cas d’attaque du loup. Mais il faut rappeler ce principe, le bénéfice du doute profite à l’éleveur en matière d’indemnisation », indique Christophe Coelho, directeur de cabinet du préfet."
Beaucoup d'éleveurs aimeraient que ce principe soit appliqué, dans tous les départements, pour toutes les espèces: bovins, caprins, chiens, équins,...
Car a ce jour il semblerai que cela ne soit pas perçu comme cela sur le terrain!
"Dans les Hautes-Alpes, le débat n’est donc pas celui qui secoue les Pyrénées, où d’aucuns ont accusé le vautour d’être lui-même l’auteur d’attaques de bêtes. Là-bas, on s’en doute, le sujet suscite beaucoup de réactions. « Les vautours ne sont pas des prédateurs, mais des charognards »Selon Christian Tessier, de l’association Vautours en Baronnies basée à Rémuzat (Drôme), « il s’agit d’une rumeur, partie il y a une dizaine d’années. Les vautours ne sont pas des prédateurs, mais des charognards ». Le spécialiste poursuit : « Ce qui est vrai, c’est que dans des cas très exceptionnels – qu’on n’a jamais vus dans nos départements – les vautours peuvent devancer la mort, par exemple pendant une mise bas problématique, quand il y a une hémorragie ou quand un agneau est mort-né. "
Ces dire n'engage que sont auteur, dont le militantisme nuit gravement au qualificatif pompeux de spécialiste... Ce n'est en fait qu'un éleveur de vautour qui veut trouver que des avantages a ses protégés, mais l'histoire comme l'actualité nous prouvent régulièrement que nous pouvons les classer dans les prédateurs...
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Du côté de la préfecture, on indique que les carcasses des bêtes donnent lieu à indemnisation dès lors qu’elles peuvent être recensées. « Lorsque l’ONCFS procède aux constatations, on conseille effectivement aux éleveurs de mettre les carcasses à l’abri, sous une bâche par exemple. Et ensuite on procède à l’autopsie. Ces bêtes sont comptabilisées au même titre que les autres en cas d’attaque du loup. Mais il faut rappeler ce principe, le bénéfice du doute profite à l’éleveur en matière d’indemnisation », indique Christophe Coelho, directeur de cabinet du préfet."
Beaucoup d'éleveurs aimeraient que ce principe soit appliqué, dans tous les départements, pour toutes les espèces: bovins, caprins, chiens, équins,...
Car a ce jour il semblerai que cela ne soit pas perçu comme cela sur le terrain!
"Dans les Hautes-Alpes, le débat n’est donc pas celui qui secoue les Pyrénées, où d’aucuns ont accusé le vautour d’être lui-même l’auteur d’attaques de bêtes. Là-bas, on s’en doute, le sujet suscite beaucoup de réactions. « Les vautours ne sont pas des prédateurs, mais des charognards »Selon Christian Tessier, de l’association Vautours en Baronnies basée à Rémuzat (Drôme), « il s’agit d’une rumeur, partie il y a une dizaine d’années. Les vautours ne sont pas des prédateurs, mais des charognards ». Le spécialiste poursuit : « Ce qui est vrai, c’est que dans des cas très exceptionnels – qu’on n’a jamais vus dans nos départements – les vautours peuvent devancer la mort, par exemple pendant une mise bas problématique, quand il y a une hémorragie ou quand un agneau est mort-né. "
Ces dire n'engage que sont auteur, dont le militantisme nuit gravement au qualificatif pompeux de spécialiste... Ce n'est en fait qu'un éleveur de vautour qui veut trouver que des avantages a ses protégés, mais l'histoire comme l'actualité nous prouvent régulièrement que nous pouvons les classer dans les prédateurs...
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