http://www.pyrenees-pireneus.com/Ecologistes-Ecologie/Emplois/2012-12-11-Mythe-Emplois-Verts.html
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Mais de quoi parlons-nous exactement lorsqu’il s’agit d’emplois "verts" ?
Embaucher un animateur "environnement" pour un centre de vacances, des classes "vertes"… C’est un emploi vert. Faire de l’éducation à l’environnement comme pour la ville de Tarbes au centre de Payolle, c’est du développement durable.... avec des emplois verts. Embaucher un technicien en informatique pour gérer des déchets, modéliser un espace, rechercher à réduire le coût énergétique… c’est un emploi vert. Acheter un logiciel pour optimiser la consommation d’énergie, c’est contribuer à des un emplois verts. Embaucher un cantonnier, c’est encore du vert….. De même, embaucher un berger, construire une cabane d’estive dont on se passerait s’il n’y avait ni ours et ni loups, c’est encore des emplois et des investissements verts. Et au milieu de tout ceci, des rapaces associatifs qui profitent des diverses strates pour justifier des subventions dont nous ne savons pas très bien à quoi elles servent sans parler des emplois aidés pour… aider le copain.
Notre société subit tous ces délires et incohérences autant que tous ces excès et incompréhensions. Imaginer que les dits emplois verts sont de vrais emplois qui n'existeraient pas sans une démarche "verté" est assez primaire et simpliste. Reste à savoir si l'emploi dit "vert" n'est pas, en définitive, destructeurs d'emplois productifs ne dépendant pas de la solidarité nationale ou des la collectivité. Nous reproduisons ici un article paru dans le journal les Echos le 11 décembre 2012 tendant à expliquer que les emplois dits « verts » contribuent à détruire les autres emplois notamment productifs. "
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Mais de quoi parlons-nous exactement lorsqu’il s’agit d’emplois "verts" ?
Embaucher un animateur "environnement" pour un centre de vacances, des classes "vertes"… C’est un emploi vert. Faire de l’éducation à l’environnement comme pour la ville de Tarbes au centre de Payolle, c’est du développement durable.... avec des emplois verts. Embaucher un technicien en informatique pour gérer des déchets, modéliser un espace, rechercher à réduire le coût énergétique… c’est un emploi vert. Acheter un logiciel pour optimiser la consommation d’énergie, c’est contribuer à des un emplois verts. Embaucher un cantonnier, c’est encore du vert….. De même, embaucher un berger, construire une cabane d’estive dont on se passerait s’il n’y avait ni ours et ni loups, c’est encore des emplois et des investissements verts. Et au milieu de tout ceci, des rapaces associatifs qui profitent des diverses strates pour justifier des subventions dont nous ne savons pas très bien à quoi elles servent sans parler des emplois aidés pour… aider le copain.
Notre société subit tous ces délires et incohérences autant que tous ces excès et incompréhensions. Imaginer que les dits emplois verts sont de vrais emplois qui n'existeraient pas sans une démarche "verté" est assez primaire et simpliste. Reste à savoir si l'emploi dit "vert" n'est pas, en définitive, destructeurs d'emplois productifs ne dépendant pas de la solidarité nationale ou des la collectivité. Nous reproduisons ici un article paru dans le journal les Echos le 11 décembre 2012 tendant à expliquer que les emplois dits « verts » contribuent à détruire les autres emplois notamment productifs. "
Si on se fie aux chiffres donnés par Les Echos le montant des aides agricoles européennes representent 700 emplois verts.
RépondreSupprimerDe quoi relativiser les fameux 40 000 € par exploitations.
Motonton