http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/21/1520178-equarrissage-dans-les-pyrenees-les-vautours-au-secours-des-bergers.html
"Pour le sous-préfet d'Oloron-Sainte-Marie «Il s'agit d'une placette expérimentale de dépôt de cadavres de bétail naturellement morts en exploitation, en vue d'un équarrissage naturel..» Après la fameuse crise de la vache folle, les vautours se sont retrouvés en très mauvaise posture : avec la fermeture des charniers, espagnols en particulier, et de toutes les placettes, la population a chuté de 48 %. Étant affamés, les vautours se sont enhardis à s'approcher de bêtes non encore mortes et de hâter leur mort, de toute façon inéluctable. On a alors parlé d'«attaques», ce qui ne correspond à aucune réalité concernant un nécrophage.
"
Nous ne savons pas si le sous-préfet est l'auteur de la totalité du paragraphe?
Mais les attaques de vautours ont toujours existées...
Le nier est une erreur, trouver une excuse bidon en parlant de "hâter leur mort" est une escroquerie car quand une brebis, une vache, une jument se posent dans un coin pour la mise bas elle n'est nullement entrain de trépasser, et son petit sans la présence du prédateur ailés aurait commencé une belle est longue histoire...
Nourrir les vautours c'est créer un élevage qui tôt ou tard engendrera une surpopulation et des attaques de plus en plus rapprochées sur les autres animaux sauvages et domestiques en bonne santé!
Monsieur le sous-préfet vous semblé avoir réussi a créer ce nourrissage, que monsieur le maire ne sais pas comment appeler! vous en assumerez donc conjointement la responsabilité, même si votre carrière vous a éloigné de votre arrondissement actuel quand les principaux problèmes apparaîtront
"Pour le sous-préfet d'Oloron-Sainte-Marie «Il s'agit d'une placette expérimentale de dépôt de cadavres de bétail naturellement morts en exploitation, en vue d'un équarrissage naturel..» Après la fameuse crise de la vache folle, les vautours se sont retrouvés en très mauvaise posture : avec la fermeture des charniers, espagnols en particulier, et de toutes les placettes, la population a chuté de 48 %. Étant affamés, les vautours se sont enhardis à s'approcher de bêtes non encore mortes et de hâter leur mort, de toute façon inéluctable. On a alors parlé d'«attaques», ce qui ne correspond à aucune réalité concernant un nécrophage.
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Nous ne savons pas si le sous-préfet est l'auteur de la totalité du paragraphe?
Mais les attaques de vautours ont toujours existées...
Le nier est une erreur, trouver une excuse bidon en parlant de "hâter leur mort" est une escroquerie car quand une brebis, une vache, une jument se posent dans un coin pour la mise bas elle n'est nullement entrain de trépasser, et son petit sans la présence du prédateur ailés aurait commencé une belle est longue histoire...
Nourrir les vautours c'est créer un élevage qui tôt ou tard engendrera une surpopulation et des attaques de plus en plus rapprochées sur les autres animaux sauvages et domestiques en bonne santé!
Monsieur le sous-préfet vous semblé avoir réussi a créer ce nourrissage, que monsieur le maire ne sais pas comment appeler! vous en assumerez donc conjointement la responsabilité, même si votre carrière vous a éloigné de votre arrondissement actuel quand les principaux problèmes apparaîtront
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