http://p1.storage.canalblog.com/17/20/1215213/94533313.pdf
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Lorsqu’un loup est abattu, même si c’est
dans le cadre des prescriptions figurant dans
le « Plan loup suisse », il s’ensuit généralement
d’intenses discussions. Ce genre de
polémique a souvent des répercussions sur
la perception des cantons concernés. Les
autorités cantonales, ainsi que les milieux qui
s’efforcent de donner une image positive de
leur région (par ex. tourisme, agriculture,
chambres de commerce, etc.) ont tout intérêt
à trouver une solution durable. Il est donc
indiqué que ces acteurs se concertent.
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sur la chasse doivent être adaptées. La
le cadre de la Convention alpine). "
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Pour mettre fin à cette problématique, le SAB
est d’avis qu’il faut réduire le degré de protection
du loup et permettre de le chasser. C’est
la raison pour laquelle il faut quitter la
Convention de Berne et renégocier la question
du loup, à l’occasion de la nouvelle adhésion.
Dans ce cadre, la loi et l’ordonnance
sur la chasse doivent être adaptées. La
conservation d’une population de loup viable
ne doit pas constituer un objectif pour la
Suisse, en raison de la forte présence de ce
prédateur dans plusieurs régions d’Europe
(notamment à l’Est). En ce qui concerne les
critères permettant le tir de loup, ils doivent
être de la compétence des cantons. Dans ce
cadre, il faut prendre une certaine distance,
par rapport à un organe de coordination intercantonal.
Le « Plan loup suisse » doit aussi
prévoir la création de zones sans loup. Ces
dernières doivent être discutées par les cantons,
avec la collaboration des principaux
milieux concernés. A l’avenir, la Suisse doit
prendre une certaine distance, vis-à-vis des
obligations internationales liées à la protection
des grands prédateurs (notamment dans
le cadre de la Convention alpine). "
A lire absolument ...
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