"
L’intérêt dont font l’objet les chiens de protection de la part de chercheurs amateurs ou scientifiques, marchands du Temple et autres profiteurs du malheur des éleveurs et bergers et assez impressionnant. La structure la plus profiteuse reste, depuis très longtemps, La Pastorale Pyrénéenne. Mais, au-delà de cette association de circonstance mis en place dans les Pyrénées en imaginant des Patou partout pour se protéger des ours, il y a des privés dont un suisse, JM. Landry, constitué en société commerciale. A peu près tous ont un point commun : capter des fonds publics.
....
"
"
Quant à Camille Fraissard, peu ou pas connu sur ce marché de la combine des chiens de protection, comme d'autres vont à la City ou Wall Street pour chercher de l'argent frais, elle fait appel à l’épargne publique pour investir… à fond perdu. Financer des recherches, pourquoi pas ? Mais encore faut-il que ces recherches servent à quelque chose. Or, il apparait, que tous les moyens de protection étudiés depuis 20 ans en France et dans le monde entier s'avèrent inefficaces comme l'a montré le CERPAM au cours de son séminaire à Valdeblore le 4 juin 2013.
"
Une nouvelle venue dans le monde des parasites de l'élevage... Dont le projet, tant que les partenariats avec les organismes sités ne seront pas démontrés, semble bien être seulement une escroquerie mercantile...
A faire savoir et dénoncer
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire