http://www.laprovence.com/article/actualites/aix-le-loup-est-a-nos-portes
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La faute au "mitage" ?
De nombreuses observations (voir infographie) ont été faites autour de Barcelonnette ou de Digne. Mais là comme dans d'autres secteurs du Var où il a été repéré, il faut aussi tenir compte du "mitage" des zones naturelles par l'habitat. En clair, c'est la ville qui progresse vers le loup tout autant que l'inverse.
Des zones jadis cultivées intensivement et déboisées sont en friches en Provence-Alpes-Côte d'Azur, reconstituant un terrain favorable à ce prédateur, avec du gibier.
"
Nous n'avons pas encore vu aix ou marseille rejoindre digne ou barcelonnette, c'est bien les loups qui se sont rapprochés comme pour valence ou grenoble
"La population d'ongulés a été multipliée par quatre, celle de sangliers par cinq (le jeune marcassin fait aussi repas pour le "canis lupus"). Cela peut aussi attirer les loups, qui ne viendront jamais faire les poubelles comme les sangliers. Ces derniers constituent d'ailleurs la vraie plaie.
"
En italie, ils appellent les loups qui font les poubelles, les loups spaghettis...
Les sangliers peuvent éventuellement être mangés par des loups, mais cela ne règle pas le problème de surpopulation cronique
"
Pas de danger
Même si la cohabitation avec l'élevage ovin pose problème, le loup reste un animal protégé. Et son mode de vie ne constitue pas une menace pour l'homme. Surtout s'il évolue seul, c'est un animal qui fuit dès qu'il est vu. Et il faut remettre les choses à leur place.
Il y aurait 250 loups en France et 2 000 en Espagne, où il arrive jusque dans les faubourgs de Madrid. Aucune attaque sur des humains n'a jamais été constatée dans ces deux pays.
"
Si les premiers éléments pouvaient être des erreurs ou du manque de documentation, celui ci est volontairement un mensonge:
Plus de 3000 attaques de loups sur les hommes
en espagne paragraphe 5.15....
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La faute au "mitage" ?
De nombreuses observations (voir infographie) ont été faites autour de Barcelonnette ou de Digne. Mais là comme dans d'autres secteurs du Var où il a été repéré, il faut aussi tenir compte du "mitage" des zones naturelles par l'habitat. En clair, c'est la ville qui progresse vers le loup tout autant que l'inverse.
Des zones jadis cultivées intensivement et déboisées sont en friches en Provence-Alpes-Côte d'Azur, reconstituant un terrain favorable à ce prédateur, avec du gibier.
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Nous n'avons pas encore vu aix ou marseille rejoindre digne ou barcelonnette, c'est bien les loups qui se sont rapprochés comme pour valence ou grenoble
"La population d'ongulés a été multipliée par quatre, celle de sangliers par cinq (le jeune marcassin fait aussi repas pour le "canis lupus"). Cela peut aussi attirer les loups, qui ne viendront jamais faire les poubelles comme les sangliers. Ces derniers constituent d'ailleurs la vraie plaie.
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En italie, ils appellent les loups qui font les poubelles, les loups spaghettis...
Les sangliers peuvent éventuellement être mangés par des loups, mais cela ne règle pas le problème de surpopulation cronique
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Pas de danger
Même si la cohabitation avec l'élevage ovin pose problème, le loup reste un animal protégé. Et son mode de vie ne constitue pas une menace pour l'homme. Surtout s'il évolue seul, c'est un animal qui fuit dès qu'il est vu. Et il faut remettre les choses à leur place.
Il y aurait 250 loups en France et 2 000 en Espagne, où il arrive jusque dans les faubourgs de Madrid. Aucune attaque sur des humains n'a jamais été constatée dans ces deux pays.
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Si les premiers éléments pouvaient être des erreurs ou du manque de documentation, celui ci est volontairement un mensonge:
Plus de 3000 attaques de loups sur les hommes
en espagne paragraphe 5.15....
Bonjour,
RépondreSupprimer3000 attaques (je ne remets pas ces chiffres en cause) en 300 ans, soit 10 attaques/an. On parle à cette époque de centaines, voir milliers de loups. Admettons 1000 loups en France pour simplifier. Soit 4 fois plus qu'aujourd'hui, si nous divison 10 par 4 on obtient...2,5 attaques potentielle par an. Sachant que les causes de mortalité n'étaient à l'époque pas forcément dûent au fait que les loups aient "dévorés" les personnes, mais étaient surtout liées aux maladies transmises et aux infections post-morsures, qui peuvent très bien se soigner aujourd'hui, la probabilité d'une attaque mortelle est donc encore diminuée. Et bien que je compte pas remettre les chiffres annoncés en cause, il faut admettre qu'une marge d'erreur existe concernant la véracité des différents témoignages.
Le National Safety concil fait état de 43 morts/an aux Etats-Unis suite aux piqûres de guêpes et frelons... Mais que font les anti-prédateurs pour nous protéger d'un tel fléau??! that is the question? ;)
Trève de galigeades, je ne crois pas que c'est en plaidant la cause de la dangerosité du loup pour l'Homme que vous serez écoutés.
François
On ne peut pas faire comme ça la moyenne du nombre d'attaques divisées par le nombre d'années. JM Mauriceau donne par ailleurs l'estimation de ce qu'il n'a pas trouvé parceque les documents ont disparus et cela, à partir du moment ou les déces étaient tous consignés dans un dossier par le curé, est très sûr car il y en avait un pour chaque année. D'autres données lui permettent de faire une évaluation semblable à l'époque ou les archives n'étaient pas aussi bien tenues. Ces discutions autour des attaques sur l'homme deviennent ridicules. Soit, on n'en constate presque plus (tout de même un cas en Alaska l'an dernier) JM Moriceau montre comment cela a décru des le début du 19 ème siècle. Le loup avait en effet de plus en plus peur de l'homme et cela fait que les attaques de chiens mortelles sur l'homme sont plus nombreuse (pour une population de chiens combien de fois plus importante?). Mais cette crainte de l'homme peut se perdre. On remarque qu'aujourd'hui il peut attaquer le troupeau devant le berger.Il n'est absolument pas naturel de le laisser faire tout et n'importe quoi. Pour quelle autre raison l'homme serait épargné par le loup? Ce dernier tue biens des buffle. L'homme, à moins d'être armé, n'a pas de grandes capacités pour ce défendre et court moins vite qu'une brebis. A forciori un enfant. Cette façon de parler du problème me fait penser à ces malheureux parents qui ont cru pouvoir laisser leur bébé dans une voiture sous la garde d'un chien en qui ils avaient toute confiance. Mais le chien n'a pas compris que cet être était un humain et l'a tué.
SupprimerAvant de dire des bétises, il faut lire les liens...
RépondreSupprimerSi vous contestez le travail de monsieur mauriceau et de son équipe c'est votre choix mais il va falloir le prouver...
Qu'il y ai une ou 3000 attaques, l'affirmation écrite dans la provence constitue un mensonge!
Depuis maintenant les deux décennies que le loup a fait son retour en France, aucune attaque de loup sur l'homme n'a été recensée (penseriez-vous ? la fédération des acteurs ruraux se serait tout de suite empressée de publier "le scandale"). Mais à par ça, le loup est super, méga dangereux pour l'homme !
RépondreSupprimerCombien d'attaque de chien par an rien qu'en France ?
cette phrase:
RépondreSupprimer"Aucune attaque sur des humains n'a jamais été constatée dans ces deux pays.
"
Constitue un mensonge quelque soit les sbterfuges que vous tenterez d'utiliser pour changer de sujet.
Allez, rien que pour vous, je concède que cette phrase est un mensonge. Il y a eu des attaques au 20è siècle. Mais je pense que ces quelques attaques ne vont nullement mettre en périls les plus de 46 millions d'espagnols qui vont pouvoir continuer à dormir la nuit bien tranquillement.
RépondreSupprimerSi vous voulez, on peut même remonter à la préhistoire, ce qui gonflera sans nul doute le chiffre des attaques de loup en Espagne puisque le risque zéro n'existe pas...
On peut donc laisser jouer les enfants sans risque!
SupprimerPourtant : maintenant que les ovins et caprins se retrouvent enfermés dans la bergerie pour y passer l'hiver, souvent rude dans nos montagnes, le prédateur s'en prend aux chevaux! Tous les « pro-loups » vous diront que ce n'est pas possible, mais ils ont besoin de se rassurer eux-mêmes aux dépend de la sécurité de nos amis. Devant l'évidence de la réalité, il ne reste plus qu'à espérer que le discours selon lequel l'animal ne s'attaque pas à l'homme ne soit pas de la même veine!