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AG





vendredi 4 mars 2016

Film de Ségur? diffusé ou pas ? droit a l'image?

http://www.20minutes.fr/nice/1799075-20160303-alpes-maritimes-finalement-cinema-departement-diffusera-bien-film-loup


Hier un article de louis dollo nous précisait ce qu'il y a ci dessous mais il semble que vu le lien ci dessus il y ai que l'avant première, ou au moins l'avant première d'annulé...
 
Certains se posent des questions sur ce film: le droit a l'image a  t il été respecté?
 
Est ce une volonté de la société de créer une polémique pour essayer d'attirer des spectateurs pour un films sans histoire, ni fil conducteur... une série de portrait qui n'apporte rien aux problèmes des prédations, aucune solutions...
 
Mais cela ne semblait pas forcément être l'objectif! il est possible que l'objectif est été de voir les conséquences psychologiques de l'impact  du loup sur la vie de certaine personne...
 
Nous en retiendrons la situation de désert mental du "caméléon" Manoel Atman qui nous démontre que les pro loups n'ont pas d'argument et que le conseil général de la Lozère serait bien inspiré de conditionner le versement des minimum sociaux a une véritable recherche de travail...
 
 
 
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Dans les Alpes-Maritimes, la gueule du loup n’a plus rien à y faire
 
 
Le film, «La Gueule du loup», qui, selon son producteur, traite de la problématique du retour du loup en France, devait être projeté ce dimanche. Sur décision du Conseil départemental propriétaire de la salle, cette projection a été déprogrammée. http://www.20minutes.fr/nice/1798219-20160302-alpes-maritimes-cinema-conseil-departemental-deprogramme-film-loup
Ce film, même si pour certains était équilibré, faisait l’objet d’une polémique juridique sur le droit à l’image de certains éleveurs. Par ailleurs, il est quelque peu indécent que des producteurs de films se fassent de l’argent sur le malheur vécu par les éleveurs de montagne et de plaine. Les éleveurs ne sont pas des acteurs de gratuit de cinéma qui jouent un rôle. D’autre part, il faudra que les médias apprennent à ne plus présenter la question du loup sous forme binaire. Cette méthode simpliste et intellectuellement médiocre, en présentant les « pour » et les « contre », ne représente nullement la réalité. Le sujet est beaucoup plus complexe que ce message stupide, source de haine permanente, véhiculé depuis plus de 20 ans, qui fait le fonds de commerce de quelques officines qui prétendent défendre la nature avec l’argent du contribuable sans jamais rien demander aux intéressés des territoires.
Les vraies questions sont : « que veut-on faire de nos territoires et qui peut décider de l’avenir de ces territoires ? »
Le loup alibi
Comme le rappelle Charles-Ange Ginésy, Président du Parc National du Mercantour, « le loup ne doit pas être la seule image du parc ». Ce n’est pas le loup, ni le parc national, qui font la beauté et la diversité des paysages, pas plus que la biodiversité remarquable captée aux éleveurs et habitants des vallées concernés dans les années 1960 par les Parcs Nationaux. C’est l’élevage et le pastoralisme avec l’action des bêtes sur le milieu. Le loup n’a été qu’un alibi d’une idéologie du tout sauvage menée par l’UICN et le WWF, récupérées localement par des officines sans scrupule souvent financées par des deniers publics. L’objectif était (et est toujours) clairement affiché. Il s’agit de vider les territoires des hommes et de leurs activités pour en faire des espaces sauvages dédiés uniquement au sauvage avec seulement quelques espaces ludiques pour observer le sauvage à travers un tourisme de masse encadré et géré par quelques Tours Opérateurs choisis pour leur militantisme. Selon l’UICN, les parcs et réserves doivent être les fers de lance de cette politique.
Une présentation binaire stupide
Il n’y a ni « pour » ni « contre » les loups. Il y a d’un côté des vrais professionnels de l’élevage motivés et passionnés, qui veulent vivre de leur métier.
De l’autre, il y a des amateurs qui rêvent à partir d’une idéologie imaginée dans les années 1930 par des personnes aux objectifs peu recommandables. Ces idées les plus ignobles ont survécu à la création de nombreux organismes qui s’affranchissent facilement de toute démocratie sachant qu’un Parc National est tout sauf un espace démocratique malgré des apparences trompeuses.
Un éleveur, notamment de montagne, est le premier, pour ne pas dire l’unique écologiste pour son territoires. Il n’a pas à rechercher de compromis ni même dialoguer avec des amateurs idéologues favorables à un autre système incompatible avec la vie des vallées et des campagnes. Chacun a le droit de penser et développer des idées. Mais chacun doit rester à sa place : des professionnels d’un côté, producteurs et conservateurs d’un milieu et des idéologues de l’autre plus connus pour leurs actions judiciaires que pour des actions positives sur le terrain.
Les idéologues n’existent aujourd’hui qu’en occupant un espace médiatique pour diffuser des mensonges telles que la cohabitation possible, sans jamais apporter de preuves depuis plus de 20 ans, ou en prétendant que tout se passe bien dans les autres pays alors que c’est totalement faux.
Le film, la « Gueule du loup » ne fait pas apparaître cette dimension sur l’avenir des territoires, leur gouvernance démocratique, le rôle des professionnels et celui des amateurs. Il reste binaire et ne peut qu’entretenir la haine et les conflits comme tant d’autres reportages. Aujourd’hui, il faut mettre un terme à ces comportements.
Pour le département des Alpes-Maritimes, il lui reste à revoir le rôle du Parc Alpha, et sans doute son avenir, mais plus certainement, dans l’immédiat, son discours et ses messages vis-à-vis du loup et du pastoralisme. Ne serait-il pas plus judicieux d’imaginer, en collaboration avec les habitants des vallées du département, un parc vitrine de la réalité partagée des milieux et de la vie passée et présente du territoire incluant le rôle du pastoralisme et très accessoirement la présence du loup ? Dans tous les cas, la présence des produits dérivés d’organisations écologistes est pour le moins déplacée.
Louis Dollo
PS : ces propos sont également valables pour l’ours dans les Pyrénées ou ailleurs, sachant que le projet d’introduction d’ours dans le Vercors a été suspendu.
Mieux connaître la réalité du loup dans les Alpes et en France

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