jeudi 28 mars 2013

L’ours réapparait en Pays Toy, une plainte est déposée… contre Ferus !

http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/ours/France/Communication-Propagande/Plainte-contre-Ferus-Dollo-Ours-Pays-Toy-Cannellito.html
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Les suites d’une vielle rumeur développée par qui ?
Tout débute par une rumeur sur le Net, notamment dans le milieu écologiste, qui apparait en septembre 2012 après une rumeur d’ours à Campbielh alors qu’il ne s’agissait que de… marmottes. La rumeur se poursuit et nous la notons début octobre 2012 parmi les nombreuses rumeurs qui ont circulé au cours des dernières 7 années…. Et comme toutes rumeurs elle fait l’objet de plaisanteries diverses sur le Net et ailleurs comme celle-ci en ligne et diffusée sur Internet depuis début octobre 2012.
Mais qui développe cette rumeur ? La dernière prédation à Bachebirou date du 17 septembre 2012. Par la suite, les troupeaux ont débuté leur descente ou ont changé de quartier. Pour l’ours les occasions de se manifester publiquement s’amenuisaient. Une situation qui plaçait la rumeur au niveau de plaisanterie. D’ailleurs, exaspérés par les questions stupides posées, certains éleveurs irons jusqu’à répondre : « L’ours ? Y en a plus ». Partant de là, chaque phrase prise hors de son contexte laissait la place à toutes les interprétations et manipulations des pisse-froids de l’écologie. Mieux encore, sur Facebook, ils ont soigneusement pris en compte ce qui les arrangeait, des phrases et des dialogues sortis de leur contexte, puis effacé ce qui les gênait. Vielle méthode déjà utilisée par l’association reine de la manipulation depuis les années 1980 dans les Pyrénées : Artus / Ferus.
C’est donc à partir de quelques phrases, voir même de mots, vicieusement tirés d’un échange sans grand intérêt qu’une plainte est déposée par Férus à mon encontre, en janvier 2013 pour « non dénonciation de la destruction d’une espèce animale protégée » en faisant référence aux articles L 411-1 et L 411-2 du Code de l’environnement (1). N’ayant pas vu d’ours, et ne l’ayant d’ailleurs pas cherché, j’aurais donc dû informer les services de gendarmerie ou de police de la destruction hypothétique d’un ours. Situation ubuesque. Pourquoi ne l’ont-ils pas fait eux-mêmes ? Et pourquoi ne pas déposer plainte contre les quelques 2000 habitants du canton de Luz qui devaient bien savoir quelque chose sur la destruction de cet ours.
C’était sans compter sur le fait que le ridicule ne tue pas dans le monde de l’écologie profonde où tous les délires ont droit de citer. Mais….
Manque de chance, l’ours réapparait....

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Si cette procédure va jusqu'a son terme, le jour du procès il faudra être le plus nombreux possible a tarbes pour soutenir: Louis, Le droit de s'exprimer, Les ruraux face a l'intégrisme ecologiste...

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