lundi 16 décembre 2013

Bravo Président

https://www.facebook.com/notes/jean-yves-dusserre/r%C3%A9siliation-de-la-convention-entre-la-lpo-et-le-conseil-g%C3%A9n%C3%A9ral-des-hautes-alpes/680714931959902

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Résiliation de la convention entre la LPO et le Conseil Général des Hautes-Alpes

10 décembre 2013, 18:21
 J'ai écrit hier au Président de la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO), Mr. Allain BOUGRAIN-DUBOURG,  pour résilier notre convention, la création d'un refuge LPO sur le site Saint-Louis à Gap, suite à leur demande et obtention de l'annulation de l'arrêté préfectoral d'un tir de prélèvement du loup.




J'ai résilié la convention entre le Conseil Général et la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) qui nous liait depuis septembre 2012,

"
 
 
Les différents départements qui cherchent a faire des économies devraient suivre votre exemple:
Au lieu de faire des déclarations médiatiques sur la suppression de la cérémonie des vœux...
 
Car votre position est bien plus durable... et ferait beaucoup d'économie, En Isère 1000 000 d'euro sans compter toutes les subventions aux associations... soit 10 fois plus que les vœux...
 
 
 
Chaque Président de conseil général doit savoir gérer les finances en dynamisent le territoires, pas en le mettant sous cloche, par idéologie ou sous la pression de militants intégristes de la deep écologie, au frais du contribuable et des activités économiques, culturelles, sociétales...

5 commentaires:

  1. Tout à fait d'accord ! Arrêtons de mettre nos montagnes sous cloches pour faire plaisir à un pastoralisme vieillissant et inutile, qui coûte des millions d'euros au contribuable tous les ans.

    Cet argent pourrait être investi de manière beaucoup plus utile plutôt que de subventionner des pseudos bergers qui s'amusent à promener des moutons en montagne.

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    1. Une initiative courageuse de la part du Conseil Général des Hautes Alpes (05) que nous saluons et qui espérons-le sera suivie par d'autres. En France, les associations ASPAS, FERUS, LPO, FNE, (...) sont subventionnées à 100% avec l'argent des contribuables (alors que l'on demande aux français de se serrer la ceinture encore d'un cran!) et elles ne produisent rien... Par contre, elles veulent détruire une activité économique qui est l'élevage extensif ou naturel.

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  2. A propos du "pastoralisme vieillissant et inutile"

    Les pratiques pastorales ancestrales participent à une forme d’équilibre et
    à la diversité des milieux de montagne que l’on connaît actuellement. Elles
    sont notamment indispensables au maintien des prairies d’altitude riches
    en espèces végétales. Par exemple, la déprise de ces espaces conduit à
    une progression des ligneux (arbres ou arbustes) et une fermeture du pay-
    sage qui peut être néfaste à la biodiversité végétale ou animale
    source cemagref “l'évolution du pastoralisme, quel impact sur la biodiversité”
    une nullité comparé a Petit jean!

    Les valeurs de chargement présentées sont donc ponctuelles et largement variables en fonction de la saison et du contexte local (altitude…). Elles ne peuvent pas être dissociées des contraintes écologiques des milieux concernés. Ainsi, les secteurs présentant les meilleurs valeurs pastorales sont également les plus fréquentés par les troupeaux.
    Source master de biologie écologie, “ pastoralisme et biodiversité”
    mais comparé a Petit Jean de la gnognotte

    Le pastoralisme constitue un exemple de secteur d’investissement au sein duquel le double objectif de développement et de conservation de la biodiversité peut être atteint par la reconnaissance de la contribution importante de ce système aux cultures, traditions, moyens d’existence et services des écosystèmes. A titre d’exemple, le maintien de la couverture végétale par un pastoralisme durable peut contribuer à fournir des services des écosystèmes à la fois aux populations pastorales et à leur élevage mais aussi aux utilisateurs des terres alentour. Les actions qui conduisent à remplacer le pastoralisme, en passant donc d’une option d’utilisation durable de la terre à une option non durable, comme la conversion de zones pastorales en zones d’activités agricoles sédentaires, ou le remplacement d’espèces d’élevage traditionnelles par des espèces exotiques, peuvent provoquer une dégradation des services écosystèmiques. Par exemple, la dégradation de la couverture végétale peut affecter le cycle de l’eau et conduire à une augmentation des inondations ou bien des sécheresses menaçant à la fois les objectifs de développement et de biodiversité.
    source UICN (union internationale pour la conservation de la nature) "pastoralisme, conservation de la nature et développement"
    des gros nuls comparé a Petit jean

    En dehors des associations de protections du loup et de leurs adeptes qui ont perdu tout libre arbitre, tout les organismes qui travaillent sur la nature et la biodiversité sont unanimes!


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  3. Encore un petit pour la route :


    1) Contexte :
    Les activités agropastorales des siècles passés sont en grande partie à l'origine de la structuration actuelle de la biodiversité terrestre de la région méditerranéenne (diversité sauvage & domestique aux différentes échelles de perception) [1]. Cette biodiversité se caractérise en particulier par une richesse remarquable des biotopes asylvatiques, une grande diversité d’organismes hétérothermes, un endémisme important et de forts contrastes topologiques. La façade méditerranéenne constitue un remarquable réservoir de biodiversité pour l’Union Européenne et figure parmi les régions les plus intéressantes, que l’on considère le nombre de taxa ou leur originalité biogéographique [2].
    Aujourd’hui, le pâturage extensif est l’un des principaux outils de gestion agri-environnementale utilisés pour préserver la diversité des écosystèmes de la moyenne montagne méditerranéenne en limitant l’expansion des espèces ligneuses consécutive à la déprise rurale. Dans ces régions accidentées, le pastoralisme est l'ultime valorisation agricole possible d’écosystèmes rendus peu productifs par la sécheresse estivale. Ce faisant, l’activité d’élevage conserve localement une importance significative dans la vie sociale des massifs.
    Thèses encadrées récemment sur des sujets connexes :
    [a] F. Errouissi (2003) Université Montpellier 3 (Dir. J.P. Lumaret)
    Effets des anthelminthiques sur les insectes coprophages. Conséquences en-
    vironnementales
    [b] J. Gilles (2005) Université de la Réunion (Dir. G. Duvallet)
    Dynamique et génétique des populations d'insectes vecteurs - Les stomoxes,
    Stomoxys calcitrans et Stomoxys niger niger dans les élevages bovins
    réunionnais
    [c] J. Niogret (2007) Université Montpellier 3 (Dir. J.P. Lumaret & M. Ber-
    trand)
    Interactions multipolaires entre coléoptères, acariens et diptères : stratégies
    de dispersion pour l’exploitation d’une ressource trophique éphémère
    [d] J.F. Mavoungou (2007) Université Montpellier 3 (Dir. G. Duvallet)
    Écologie et rôle vecteur des stomoxes (Diptera, Muscidae) au Gabon
    Tous des bons a rien face a notre Petit .....

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  4. "un pastoralisme moderne, adapté, qui valorise les subventions qui lui sont accordées en connaissance de cause, pour permettre a la biodiversité de s'épanouir pour le plus grand nombre de citoyen.
    Dans les espaces pâturés, le pâturage joue un rôle déterminant dans la dynamique de la diversité des espèces végétales et animales. Aujourd’hui le pâturage des animaux domestiques doit assurer le maintien de la biodiversité et de l’intégrité des paysages pastoraux. Un des problèmes clé dans le contrôle de la dynamique de la végétation prairiale est l’ajustement de la quantité prélevée à la quantité produite et ce, quel que soit le niveau de production de la parcelle. La sous consommation d’herbe est un facteur de dégradation de la végétation au même titre que le surpâturage.
    agronomes et aux zootechniciens [15]. Aussi,
    vouloir gérer la biodiversité par le pâturage
    demande d’intégrer dans la réflexion non
    seulement les connaissances sur les aspects
    biotechniques de l’utilisation du pâturage,
    mais aussi celles relatives à son organisa-
    tion sociale, qu’il s’agisse de la gestion
    d’une exploitation d’élevage ou de l’orga-
    nisation entre acteurs au niveau de la gestion
    d’un territoire [ 17 Ainsi la gestion de la
    biodiversité n’est elle pas dissociable de la
    problématique plus générale d’une agricul-
    ture durable dans ses dimensions socio-éco-
    nomiques.
    RÉFÉRENCES
    [ 1 ] Alard D., La végétation pastorale de Normandie
    centrale. Phyto-écologie, agronomie et dyna-
    mique. Conséquences pour la gestion d’un
    espace agricole en mutation, thèse, Université de
    Rouen, 1990.
    [2] Alard D., Poudevigne L, Les facteurs de contrôle
    de la biodiversité dans un paysage rural : une
    approche agro-écologique, Ecologie 28 (1997)
    25-38.
    [3] Allen T.F.H., Hoekstra T.W., The confusion
    between scale-defined levels and conventional
    levels of organisation in ecology, J. Veg. Sci. 1
    ( 1990) 5-I 2.
    14J Allen T.F.H., O’Neill, R.V., Hoekstra, T.W.,
    Interlevel relations in ecological research and
    management: some working principles from
    hierarchy theory, J. Appl. Syst. Anal. 14 (1987)
    63-79.
    [5] Allen T.F.H., Starr T.B., Hierarchy. Perspec-
    tives for ecological complexity, University of
    Chicago Press, Chicago,11, 1982.
    [6] Balent G., Construction of a reference frame for
    studying the changes in species composition in
    grassland, Options Méditerranéennes 15 (1991)
    73-8
    I .
    17J Baient G., La qualité des systèmes écologiques :
    Le point de vue de l’écologue, Études et
    Recherches sur les Systèmes Agraires et le
    Développement 28 ( 1994) 259-266.
    [8] Baient G., Gibon, A., Définition et représentation
    du système pastoral. Niveaux d’organisation et
    pratiques de pâturage, Études et Recherches sur
    les Systèmes Agraires et le Développement 1
    ]
    ( 1988) 65-78.
    [9] Balent G., Gibon A., Organisation collective et
    individuelle dans la gestion des ressources pas-
    torales : conséquences sur la durabilité agro-
    écologique des ressources, in: N.P. Zervas,
    Hatziminaoglou J. (éds.), The optimal exploi-
    tation of marginal Mediterranean areas by exten-
    sive ruminant production systems, EAAP Publi-
    cation n° 83, Thessalonique, 1996, pp. 365-375.
    ! 10] Blanfort V., Agro-écologie des pâturages d’alti-
    tude à l’île de la Réunion. Pratiques d’éleveurs
    et durabilité des ressources herbagères dans un
    milicu à fortes contraintes, thèse, Université
    d’Orsay. 1996.
    III J
    Brown B.J., Allen T.F.H., The importance of
    scale in evaluating herbivory impact, Oikos 54
    (1989)189-194.

    Tous des incompétents face a petit jean

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