http://www.ledauphine.com/savoie/2013/07/20/trois-betes-devorees-par-des-vautours-a-bessans
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il ne faut pas chercher bien loin le nom des coupables. Ce sont des vautours. « Depuis quinze jours, plus d’une vingtaine de vautours tournent sans arrêt pour faire peur au troupeau. Quinze, même vingt fois par jour ils tentent d’éclater le troupeau pour isoler des bêtes », confie l’agricultrice.
Ce carnage est, selon les dires, de l’éleveuse “catastrophique”. Et pour cause, après 12 brebis tuées par le loup l’an passé, ce sont trois bêtes en excellente santé qui ont été dévorées. « Les prédateurs sont incompatibles avec le pastoralisme » lance en colère l'éleveuse.
Ses attaques trouveraient leur origine, selon elle, dans le manque de nourriture des vautours. Ceux-ci seraient passés de charognards à prédateurs. « On les voit tourner depuis le village de Bessans. Ils sont complètement affamés, ils ont un comportement de prédation. Ce n’est pas possible d’élever des bêtes dans ces conditions », s’exclame l’agricultrice.
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Les vautours qui ont été élevés puis lâchés sont en surpopulation, cela est voulu par les associations qui les nourrissent...
Le mode de nourrissage (placette) entrainent les vautours a attaquer le bétail domestique..
Les associations qui protègent ces vautours utilisent leurs relais dans la presse pour tenter de minimiser l'impacte de ces vautours qu'elles ont réintroduit et dressés pour réaliser ces funestes agressions...
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Cette attaque de vautours n’est pas une première en Maurienne cet été. Vendredi 12 juillet, c’est à Saint-Julien Montdenis qu’une génisse avait été dévorée par une cinquantaine de rapaces. Quelques jours plus tard, une autre génisse du même troupeau s’était fait attaquer. Mais à l’inverse des bêtes de bessans qui étaient en excellente santé, les deux génisses, elles, ne l’étaient pas.
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Il est rare que nous reproduisions des noms dans ce blogs, mais la diffusions d'informations tendant a modifier la réalité nous impose de le faire:
Jérôme DECHENE vous êtes responsable de l'information que vous diffusée
Les 2 génisses n'étaient en rien en danger mortelles, pas plus que les vaches tuées en Isère ou dans la Drôme... Les attaques ont eu lieu alors que ces animaux étaient encore en vie!
Les humains ont aussi parfois des "faiblesses", ils font la sieste, se tordent la cheville, font des hypoglycémies...
Il faut probablement agir avant que cela ne se termine comme ça! ou comme ça!
Le prochain qui se fera mangé aura-t-il le temps de mourir en plein ou pas?
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il ne faut pas chercher bien loin le nom des coupables. Ce sont des vautours. « Depuis quinze jours, plus d’une vingtaine de vautours tournent sans arrêt pour faire peur au troupeau. Quinze, même vingt fois par jour ils tentent d’éclater le troupeau pour isoler des bêtes », confie l’agricultrice.
Ce carnage est, selon les dires, de l’éleveuse “catastrophique”. Et pour cause, après 12 brebis tuées par le loup l’an passé, ce sont trois bêtes en excellente santé qui ont été dévorées. « Les prédateurs sont incompatibles avec le pastoralisme » lance en colère l'éleveuse.
Ses attaques trouveraient leur origine, selon elle, dans le manque de nourriture des vautours. Ceux-ci seraient passés de charognards à prédateurs. « On les voit tourner depuis le village de Bessans. Ils sont complètement affamés, ils ont un comportement de prédation. Ce n’est pas possible d’élever des bêtes dans ces conditions », s’exclame l’agricultrice.
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Les vautours qui ont été élevés puis lâchés sont en surpopulation, cela est voulu par les associations qui les nourrissent...
Le mode de nourrissage (placette) entrainent les vautours a attaquer le bétail domestique..
Les associations qui protègent ces vautours utilisent leurs relais dans la presse pour tenter de minimiser l'impacte de ces vautours qu'elles ont réintroduit et dressés pour réaliser ces funestes agressions...
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Cette attaque de vautours n’est pas une première en Maurienne cet été. Vendredi 12 juillet, c’est à Saint-Julien Montdenis qu’une génisse avait été dévorée par une cinquantaine de rapaces. Quelques jours plus tard, une autre génisse du même troupeau s’était fait attaquer. Mais à l’inverse des bêtes de bessans qui étaient en excellente santé, les deux génisses, elles, ne l’étaient pas.
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Il est rare que nous reproduisions des noms dans ce blogs, mais la diffusions d'informations tendant a modifier la réalité nous impose de le faire:
Jérôme DECHENE vous êtes responsable de l'information que vous diffusée
Les 2 génisses n'étaient en rien en danger mortelles, pas plus que les vaches tuées en Isère ou dans la Drôme... Les attaques ont eu lieu alors que ces animaux étaient encore en vie!
Les humains ont aussi parfois des "faiblesses", ils font la sieste, se tordent la cheville, font des hypoglycémies...
Il faut probablement agir avant que cela ne se termine comme ça! ou comme ça!
Le prochain qui se fera mangé aura-t-il le temps de mourir en plein ou pas?
"Les associations qui protègent ces vautours utilisent leurs relais dans la presse pour tenter de minimiser l'impacte (sic) de ces vautours qu'elles ont réintroduit et dressés (re-sic) pour réaliser ces funestes agressions..." Vous délirez de plus en plus, vous êtes pitoyables, risibles, caricatutaux..., continuez de la sorte.
RépondreSupprimerVotre déni de la réalité est-il du a votre ignorance ou a votre intégrisme?
RépondreSupprimerDans le premier cas nous pourrions comprendre que vous ayez été manipulé et vous trouvez des circonstances atténuantes...
Dans le second cas vous ne pourrez jamais devenir un interlocuteur lors de négociation et nous souhaitons que vous soyez interdit de contact avec des mineurs car vos manipulations peuvent les mettre en danger!
Les faits sont là, les vautours ont modifié leur comportement afin de s'alimenter pour survivre.
RépondreSupprimer10 ans que l'Espagne a reconnu officiellement leur coté "prédateur".
10 ans aussi que les pyrénéens tirent sans succès la sonnette d'alarme, muselés qu'ils le sont par toutes ces associations de défense, voire d'installation et réintroduction de ces volatiles, comme par ici les Baronnies ou le Vercors.
15 jours pour qu'enfin sorte de l'omerta cette affaire de cette pauvre femme, qui a peine a t'elle chuté, qu'elle s'est fait dévorer par les vautours.
Vu ce qu'il en restait, à l'arrivée des secours, on ne voit vraiment pas comment déterminer, si elle était ou non, encore vivante,au début du "festin" (probablement pas, mais on ne le saura jamais).
Cette nouvelle affaire (ces trois brebis), ne rajoute qu'un élément de plus à un dossier déjà bien chargé.
Autant d'argent public dilapidé par toutes ces associations, non seulement en pure perte, mais pire:
C'est que cet argent leur offre des capacités de nuisances rarement égalées.
La Cour des Compte devrait très sérieusement s'y pencher.