http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2013/03/12/carnage-chez-les-shropshire
"Dimanche, vers 18 h, le troupeau était calme… » Dans la nuit, vers 4 h, un automobiliste entrait en collision avec un groupe d’une dizaine de bêtes en divagation sur la départementale, à proximité de la ferme. Des animaux de 80 kg à 90 kg, terrorisés, et qui avaient fui le carnage. Sous le choc, quatre brebis dont certaines portaient des traces de crocs, seront tuées. L’accident servira de sirène d’alarme… Au lever du jour, le pré est un champ de bataille. L’éleveur découvre six moutons sans vie. Douze présentant de profondes blessures devront être euthanasiés dans la foulée. Bilan de l’attaque : une perte sèche de 22 brebis à 400 € l’unité. Sans compter celles qui risquent de succomber suite à l’excès de stress et les avortements à venir. « Trois ont déjà avorté », indique l’éleveur-sélectionneur, par ailleurs magnétiseur et directeur d’Inoplant, une entreprise bourguignonne spécialisée dans la recherche agro-environnementale. « Cela fait 4 ans que je suis installé à Forcelles et c’est la première attaque. Je suis très affecté. Au-delà d’une atteinte à mon capital, c’est un gros choc émotionnel. Je crains que d’autres brebis n’avortent… »
"
pour éviter de se trouver dans cette situation de nombreux éleveurs devraient montrer de la solidarité pour que ce problème soit enfin traité
car a 200 kilomètres par nuit rien ne peut assure qu'ils n'attaqueront pas en bourgogne, dordogne, pays de lois, bretagne, normandie...
il suffit d'un peu de temps et de la complicité de l'état et de l'administration qui cautionnent les mensonge de l'uicn et oublient d'assurer leurs fonctions régaliennes et d'appliquer leurs lois: L113.1; L2212.2...
"Dimanche, vers 18 h, le troupeau était calme… » Dans la nuit, vers 4 h, un automobiliste entrait en collision avec un groupe d’une dizaine de bêtes en divagation sur la départementale, à proximité de la ferme. Des animaux de 80 kg à 90 kg, terrorisés, et qui avaient fui le carnage. Sous le choc, quatre brebis dont certaines portaient des traces de crocs, seront tuées. L’accident servira de sirène d’alarme… Au lever du jour, le pré est un champ de bataille. L’éleveur découvre six moutons sans vie. Douze présentant de profondes blessures devront être euthanasiés dans la foulée. Bilan de l’attaque : une perte sèche de 22 brebis à 400 € l’unité. Sans compter celles qui risquent de succomber suite à l’excès de stress et les avortements à venir. « Trois ont déjà avorté », indique l’éleveur-sélectionneur, par ailleurs magnétiseur et directeur d’Inoplant, une entreprise bourguignonne spécialisée dans la recherche agro-environnementale. « Cela fait 4 ans que je suis installé à Forcelles et c’est la première attaque. Je suis très affecté. Au-delà d’une atteinte à mon capital, c’est un gros choc émotionnel. Je crains que d’autres brebis n’avortent… »
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pour éviter de se trouver dans cette situation de nombreux éleveurs devraient montrer de la solidarité pour que ce problème soit enfin traité
car a 200 kilomètres par nuit rien ne peut assure qu'ils n'attaqueront pas en bourgogne, dordogne, pays de lois, bretagne, normandie...
il suffit d'un peu de temps et de la complicité de l'état et de l'administration qui cautionnent les mensonge de l'uicn et oublient d'assurer leurs fonctions régaliennes et d'appliquer leurs lois: L113.1; L2212.2...
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