http://www.ledauphine.com/drome/2013/03/16/la-derniere-attaque-de-loup-il-y-a-une-quinzaine-de-jours-a-saint-bardoux-a-fait-l-effet-d-un
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Les mesures de protection ont montré leurs limites
Ainsi que l’a rappelé Michel Curt, « cela fait bientôt 20 ans que nous prenons des mesures de protection contre les attaques. Des mesures souvent inefficaces qui, au mieux, ne font que déplacer le problème ».
Avant d’ajouter : « D’autant que le loup ne se cantonne plus désormais dans les massifs montagneux, il est descendu en plaine. L’attaque de Saint-Bardoux en est le plus parfait exemple. Faut-il attendre qu’un randonneur se fasse attaquer pour que l’administration réagisse enfin ? »
« Nous sommes très attentifs à cette situation, comme à bien d’autres », a répondu le sous-préfet. « S’il faut mettre des moyens, nous les mettrons », a-t-il assuré avant de présenter les grandes lignes du nouveau plan loup qui doit entrer en vigueur au printemps. Un plan qui n’a pas eu l’heur de convaincre les nombreux éleveurs et bergers présents.
Pour la secrétaire de l’association, Anette Jouvent, il est temps de prendre des mesures plus efficaces : « Des autorisations de tirs devraient être accordées à tous les éleveurs et bergers, sachant que les mesures de protection ont montré depuis longtemps leurs limites. Y compris l’utilisation des Patou ». Les éleveurs estimant avoir atteint justement les limites « d’une cohabitation forcée »…
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Ces mesures vaguement énoncées par monsieur le sous préfet n'ont convaicu personne, pas plus les dromois, que les isérois, les ardéchois, ou les lozèriens présent dans la salle...
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Les mesures de protection ont montré leurs limites
Ainsi que l’a rappelé Michel Curt, « cela fait bientôt 20 ans que nous prenons des mesures de protection contre les attaques. Des mesures souvent inefficaces qui, au mieux, ne font que déplacer le problème ».
Avant d’ajouter : « D’autant que le loup ne se cantonne plus désormais dans les massifs montagneux, il est descendu en plaine. L’attaque de Saint-Bardoux en est le plus parfait exemple. Faut-il attendre qu’un randonneur se fasse attaquer pour que l’administration réagisse enfin ? »
« Nous sommes très attentifs à cette situation, comme à bien d’autres », a répondu le sous-préfet. « S’il faut mettre des moyens, nous les mettrons », a-t-il assuré avant de présenter les grandes lignes du nouveau plan loup qui doit entrer en vigueur au printemps. Un plan qui n’a pas eu l’heur de convaincre les nombreux éleveurs et bergers présents.
Pour la secrétaire de l’association, Anette Jouvent, il est temps de prendre des mesures plus efficaces : « Des autorisations de tirs devraient être accordées à tous les éleveurs et bergers, sachant que les mesures de protection ont montré depuis longtemps leurs limites. Y compris l’utilisation des Patou ». Les éleveurs estimant avoir atteint justement les limites « d’une cohabitation forcée »…
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Ces mesures vaguement énoncées par monsieur le sous préfet n'ont convaicu personne, pas plus les dromois, que les isérois, les ardéchois, ou les lozèriens présent dans la salle...
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