Ce jour devant le tribunal administratif de Grenoble, une cinquantaine de personnes ont assisté a une audience ou l'avocat des associations ASPAS, Ferus, One Voice ne semble pas vivre dans le même monde que Madame la Sous-Préfète de Die qui représentai le Préfet de la Drôme.
En effet alors que pour la défense de l'arrêté de tir de prélèvement d'un loup Madame la Sous-Préfète de Die, apporte des éléments rationnels, précise que avant de prendre l'arrêté préfectoral chaque point a été vérifié: la présence des moyens de protections, les réserves naturelles, le nouvel arrêté ministériel, les jurisprudences, le nombre de loup qu'il est possible de prélever ( nous en sommes a 2 sur 36 pour cette année il y a donc beaucoup de marge et aucune raison de suspendre les opération en cours)
Par contre pour l'avocat des associations d'ultra-protection des loups:
-Sans aucune vérification sur le terrain, l'avocat se permet de dire que certains troupeaux n'auraient pas mis les moyens de protections en place. ( Vu ces arguments cet avocat semble ne pas bien connaitre l'arrêté ministériel car il en suffit de seulement 2 sur 3 parmi: le berger, le parc de nuit et le patou. mais cela il semble ne pas vouloir le comprendre)
-Il y a d'écrit dans son mémoire: "Les éleveurs de la Drôme sont aisés et quelques pertes ne peuvent leurs nuire"
Pour tenter de déminer cette affirmation il précise que: " on a jamais dit que vous étiez riches, mais que des troupeaux de plus de 1000 bêtes peuvent dégager des moyens humains et financiers pour assurer la protection des troupeaux face aux loups"
Puis il nous précise que: " les loups sont revenu naturellement... il faut arrêter la démagogie si demain vous voulez travailler avec nous..."
Après un bruissement de désapprobation de la salle il continu " Si vous nous prenez pour des fous nous aussi..." ( ndlr: nous ne voyons pas en quoi cela peu faire avancer cette procédure)
Pour terminer il nous précise que "le patou c'est un petit problème mais c'est surmontable... il faut aussi que le randonneur se responsabilise et n'approche pas des troupeaux, ne cherche pas a caresser les agneaux ou le chien..."
Dans ce dossier le tribunal a donc le choix entre les arguments rationnels de la préfecture et la position idéologique des associations que leur avocat a eu bien du mal a soutenir avec un dossier rempli de beaucoup d'approximation et de détour pour tenter de faire bonne figure.
Monsieur le Président du tribunal conclus que l'instruction sera clause demain a midi et le jugement donné dans l'après midi.
En effet alors que pour la défense de l'arrêté de tir de prélèvement d'un loup Madame la Sous-Préfète de Die, apporte des éléments rationnels, précise que avant de prendre l'arrêté préfectoral chaque point a été vérifié: la présence des moyens de protections, les réserves naturelles, le nouvel arrêté ministériel, les jurisprudences, le nombre de loup qu'il est possible de prélever ( nous en sommes a 2 sur 36 pour cette année il y a donc beaucoup de marge et aucune raison de suspendre les opération en cours)
Par contre pour l'avocat des associations d'ultra-protection des loups:
-Sans aucune vérification sur le terrain, l'avocat se permet de dire que certains troupeaux n'auraient pas mis les moyens de protections en place. ( Vu ces arguments cet avocat semble ne pas bien connaitre l'arrêté ministériel car il en suffit de seulement 2 sur 3 parmi: le berger, le parc de nuit et le patou. mais cela il semble ne pas vouloir le comprendre)
-Il y a d'écrit dans son mémoire: "Les éleveurs de la Drôme sont aisés et quelques pertes ne peuvent leurs nuire"
Pour tenter de déminer cette affirmation il précise que: " on a jamais dit que vous étiez riches, mais que des troupeaux de plus de 1000 bêtes peuvent dégager des moyens humains et financiers pour assurer la protection des troupeaux face aux loups"
Puis il nous précise que: " les loups sont revenu naturellement... il faut arrêter la démagogie si demain vous voulez travailler avec nous..."
Après un bruissement de désapprobation de la salle il continu " Si vous nous prenez pour des fous nous aussi..." ( ndlr: nous ne voyons pas en quoi cela peu faire avancer cette procédure)
Pour terminer il nous précise que "le patou c'est un petit problème mais c'est surmontable... il faut aussi que le randonneur se responsabilise et n'approche pas des troupeaux, ne cherche pas a caresser les agneaux ou le chien..."
Dans ce dossier le tribunal a donc le choix entre les arguments rationnels de la préfecture et la position idéologique des associations que leur avocat a eu bien du mal a soutenir avec un dossier rempli de beaucoup d'approximation et de détour pour tenter de faire bonne figure.
Monsieur le Président du tribunal conclus que l'instruction sera clause demain a midi et le jugement donné dans l'après midi.
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