http://pyrenees-pireneus.com/WordPress3/2014/01/07/loups-bergers-une-histoire-de-chiens/
"
...
Dans une lettre du 5 janvier dernier adressée aux responsables syndicaux de la filière ovine, aux responsables syndicaux nationaux, aux élus et aux représentants du Gouvernement, ils exposent leurs griefs en découvrant une situation à laquelle ils n’ont pas participé et qui pourrait bien leur être imposée. Déjà, début décembre, l’association Eleveurs et Montagnes avait organisé le boycotte d’une réunion sur les mesures de protection. Encore une alors que l’échec de 20 ans de protection a été clairement identifiée au séminaire du CERPAM le 4 juin dernier. Et puis l’inacceptable pour les éleveurs : discuter de technique pastorale avec des écologistes qui n’ont aucune qualité ni compétence pour aborder ces sujets très professionnalisés.
...
Un business derrière un écoloLes éleveurs alpins ont 20 ans d’expérience de confrontation avec les mouvements écologistes (30 pour les Pyrénées). Ils savent très bien que toutes décisions écologiques cachent un petit commerce ou une pompe à subvention. La Pastorale Pyrénéenne est d’ailleurs tête de liste au jeu de la pompe. Et les associations d’éleveurs d’enfoncer le clou : « La Pastorale Pyrénéenne devait-elle y entrer par la porte de service comme Antoine Nochy et Jean-Jacques Blanchon de la Fondation Nicolas Hulot, il y a à peine un an, avec un autre projet tout aussi coûteux et pas plus transparent ? » Et de faire remarquer les subventions colossales versées à cette association pyrénéenne dont on ne sait pas très bien ce qu’elle fait dans les Alpes. Se prépare-t-elle à des lâchers de loups dans les Pyrénées ?
...
Aujourd’hui, les éleveurs ne veulent plus de palabre avec des écologistes qui font durer l’histoire. Ils ne veulent plus non plus d’apprentis sorciers comme des Landry, Nochy, Mauriès et encore moins des profiteurs comme La Pastorale Pyrénéenne. Ils veulent se prendre en main et décider à partir de leurs structures existantes sans intermédiaires qui parlent à leur place. Les temps changent. Nous n’envoyons plus de lettre mais des mails même sur une estive.
"
Prenez le temps d'allez lire l'article complet sur le site d'origine et d'en explorer tous les liens...
bonne lecture
"
...
Dans une lettre du 5 janvier dernier adressée aux responsables syndicaux de la filière ovine, aux responsables syndicaux nationaux, aux élus et aux représentants du Gouvernement, ils exposent leurs griefs en découvrant une situation à laquelle ils n’ont pas participé et qui pourrait bien leur être imposée. Déjà, début décembre, l’association Eleveurs et Montagnes avait organisé le boycotte d’une réunion sur les mesures de protection. Encore une alors que l’échec de 20 ans de protection a été clairement identifiée au séminaire du CERPAM le 4 juin dernier. Et puis l’inacceptable pour les éleveurs : discuter de technique pastorale avec des écologistes qui n’ont aucune qualité ni compétence pour aborder ces sujets très professionnalisés.
...
Un business derrière un écoloLes éleveurs alpins ont 20 ans d’expérience de confrontation avec les mouvements écologistes (30 pour les Pyrénées). Ils savent très bien que toutes décisions écologiques cachent un petit commerce ou une pompe à subvention. La Pastorale Pyrénéenne est d’ailleurs tête de liste au jeu de la pompe. Et les associations d’éleveurs d’enfoncer le clou : « La Pastorale Pyrénéenne devait-elle y entrer par la porte de service comme Antoine Nochy et Jean-Jacques Blanchon de la Fondation Nicolas Hulot, il y a à peine un an, avec un autre projet tout aussi coûteux et pas plus transparent ? » Et de faire remarquer les subventions colossales versées à cette association pyrénéenne dont on ne sait pas très bien ce qu’elle fait dans les Alpes. Se prépare-t-elle à des lâchers de loups dans les Pyrénées ?
...
Aujourd’hui, les éleveurs ne veulent plus de palabre avec des écologistes qui font durer l’histoire. Ils ne veulent plus non plus d’apprentis sorciers comme des Landry, Nochy, Mauriès et encore moins des profiteurs comme La Pastorale Pyrénéenne. Ils veulent se prendre en main et décider à partir de leurs structures existantes sans intermédiaires qui parlent à leur place. Les temps changent. Nous n’envoyons plus de lettre mais des mails même sur une estive.
"
Prenez le temps d'allez lire l'article complet sur le site d'origine et d'en explorer tous les liens...
bonne lecture
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire