jeudi 14 novembre 2013

Le goût du Béarn et de l’Ariège

http://www.france3.fr/emissions/des-racines-et-des-ailes/diffusions/13-11-2013_149933
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Sur les plus belles montagnes du Haut-Béarn longtemps abandonnées, des femmes et des hommes s'engagent pour faire revivre le pastoralisme. Nous suivons d'abord une équipe de biologistes au cours d’une opération particulièrement chronométrée. Chargés de contrôler l'eau dans les estives les plus reculées, ils aident ainsi les bergers à produire le « caviar » des fromages. Plus bas, deux jeunes muletiers sillonnent les sentiers escarpés pour rejoindre les bergeries inaccessibles par la route. Dans un décor à couper le souffle, entre modernité et tradition, ces acteurs participent au repeuplement des hautes vallées.
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Il est beaucoup plus important de s'occuper de l'homme que de l'ours...
L'évènement dans cette émission c'est que l'IPHB a continué a exister malgré la suppression des subventions suite a sa position contre les lâchés d'ours.
Lâchés qui était le résultat du marchandage des écolos avec l'état pour compenser la réalisation du tunnel du Somport!
Le résultat: au lieu de déporter les derniers bergers ceux ci ont fait des émules et ils sont aujourd'hui 12 fois plus nombreux... pour le bien de la biodiversité et contre l'intégrisme écologique qui ne vit que par et pour une emblème comme l'ours...

Vous verrez dans cette émission des alpages vu du ciel, de magnifique paysage, les Pyrénées...
Mais ceux qui recherche des troupeaux, des transhumances ou l'explication d'une particularité des estives pyrénéennes les escabots il faudra probablement attendre une autre émission...

1 commentaire:

  1. Le sujet n'était pas le pastoralisme mais le patrimoine.
    Sur le haut Béarn, il faut retenir que l'action de l'IPHB qui consiste notamment à mutualiser des actions et donc des coûts comme l'analyse de l'eau et l'aménagement des cabanes a permis de maintenir et développer un patrimoine : le pastoralisme.

    Pour l'Ariège, le casting du "fil rouge" est mauvais pour parler de ce patrimoine. Prendre un accompagnateur en montagne (et non un guide de haute montagne comme indiqué) qui n'est pas de la région est sans doute une erreur. Il parle du pays avec beaucoup trop de détachement, sans attachement particulier et sans connaissance approfondie de ce qui existe sur les territoires.

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