http://www.ledauphine.com/environnement/2013/04/27/nous-sommes-dans-un-ex-futur-parc
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“44 communes qui disent non à un projet de PNR sur les 126 interrogées, c’est du jamais vu”
« Notre souhait est de donner un nouvel éclairage sur la situation, expliquait Bernard Bailly. On a l’impression qu’on est dans un futur parc actuellement alors que je pense plutôt que nous sommes dans un ex-futur parc. » Tous s’accordent à dire que si après l’enquête publique et le vote des communes, le gouvernement n’a toujours pas délivré le label, « c’est bien qu’il y a un problème. Il faut savoir que 44 communes qui disent non à un projet de PNR sur les 126 interrogées, c’est du jamais vu dans une telle enquête en France. La charte des parcs repose sur la pertinence et la cohérence des territoires. Simplement aujourd’hui, dans ce projet, ce n’est plus le cas. » Et c’est principalement pour cela que le gouvernement tarderait à donner son accord…
Les anti-parc de l’association Baronnies libres s’appuient également sur ce même argument qui est le leur depuis le départ. « On a déjà suffisamment de structures sur le territoire pour le faire avancer, rappelle Nicolas Pereira. Surtout que nous sommes en pleine réforme des collectivités territoriales et que sur les Baronnies devrait naître une grande intercommunalité regroupant les quatre déjà existantes (Val d’Eygues, Pays de Buis-les-Baronnies, Pays de Rémuzat et Hautes-Baronnies). On va empiler des structures pour rien avec ce parc. » Yves Rabasse abonde aussi dans ce sens. « Nous ne sommes pas contre les actions de développement économique de nos territoires, qui en ont besoin. Mais je pense qu’elles peuvent être assurées par les structures existantes. »
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Pourquoi faire encore et toujours plus de structures couteuses pour les contribuables et dont ont ne sait plus a quoi elles servent? a part pour se faire remarquer a mettre toujours plus de contraintes aux habitants des territoires...
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“44 communes qui disent non à un projet de PNR sur les 126 interrogées, c’est du jamais vu”
« Notre souhait est de donner un nouvel éclairage sur la situation, expliquait Bernard Bailly. On a l’impression qu’on est dans un futur parc actuellement alors que je pense plutôt que nous sommes dans un ex-futur parc. » Tous s’accordent à dire que si après l’enquête publique et le vote des communes, le gouvernement n’a toujours pas délivré le label, « c’est bien qu’il y a un problème. Il faut savoir que 44 communes qui disent non à un projet de PNR sur les 126 interrogées, c’est du jamais vu dans une telle enquête en France. La charte des parcs repose sur la pertinence et la cohérence des territoires. Simplement aujourd’hui, dans ce projet, ce n’est plus le cas. » Et c’est principalement pour cela que le gouvernement tarderait à donner son accord…
Les anti-parc de l’association Baronnies libres s’appuient également sur ce même argument qui est le leur depuis le départ. « On a déjà suffisamment de structures sur le territoire pour le faire avancer, rappelle Nicolas Pereira. Surtout que nous sommes en pleine réforme des collectivités territoriales et que sur les Baronnies devrait naître une grande intercommunalité regroupant les quatre déjà existantes (Val d’Eygues, Pays de Buis-les-Baronnies, Pays de Rémuzat et Hautes-Baronnies). On va empiler des structures pour rien avec ce parc. » Yves Rabasse abonde aussi dans ce sens. « Nous ne sommes pas contre les actions de développement économique de nos territoires, qui en ont besoin. Mais je pense qu’elles peuvent être assurées par les structures existantes. »
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Pourquoi faire encore et toujours plus de structures couteuses pour les contribuables et dont ont ne sait plus a quoi elles servent? a part pour se faire remarquer a mettre toujours plus de contraintes aux habitants des territoires...
C'est même le démocratie qui est en danger (ou l'idée qu'on s'en fait).
RépondreSupprimer"On parle d’une proposition où ce sont les intercommunalités qui voteraient et plus les communes "
Déjà que quand on voit comment les communautés de communes fonctionnent...
Sur la Radio Alpes1 Christine Nivou envisageait même d'imposer ce parc en dernier recours par décret sur la Radio Alpes1 le 20 Décembre dernier.
Christine Nivou Conseillère régionale déléguée à la ruralité.
Vice présidente du Conseil Régional. (mais ils sont tous vice-présidents...)