http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/ours/France/Presence-Localisation-Suivi/Presence/2013-02-26-Point-sur-Ours-dans-les%20-Pyrenees-Predations-dommages--suivi-nombre.html
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Combien y a-t-il d’ours ? Où sont-ils ? Quels sont les dommages constatés ? La DREAL Midi-Pyrénées vient d’apporter quelques réponses et précisions sur ce sujet sensible dans les Pyrénées alors que des associations environnementalistes tentent d’occuper le terrain par des déclarations sans preuves, des procédures contre la France et des analyses statistiques sans grand intérêt face aux faits vécus sur le terrain.
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Le nombre d’ours augmente lentement mais surement. « … L'évolution de la population d'ours montre une dynamique lente mais croissante, essentiellement concentrée sur le secteur Ariège-Haute-Garonne » nous dit la DREAL. Pour être plus précis, il faudrait y rajouter le Val d’Aran puisque la cartographie de l’espace occupé par les ours en fait état. Mais comme l’ours ne connait pas les frontières administratives il serait plus réaliste de raisonner globalement, France + Espagne, autant en nombre qu’en présence d’ours et de dommages imputés au plantigrade. Un raisonnement strictement franco-français n’a pas plus de sens ici que pour apprécier le niveau de vulnérabilité de l’espèce en Europe, autre sujet manifestement manipulé par l’UICN-France.
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Dans cet ensemble, l’ours n’est qu’un tout petit aspect de la biodiversité dont la présence n’est pas indispensable à la vie des autres espèces. Mais est-ce qu’importer des ours de Slovénie ou d’ailleurs c’est défendre et développer la biodiversité pyrénéenne ? Il semble bien que non. Est-il vraiment raisonnable de conserver ces ours, sources de conflits au détriment d’une activité véritable point fort du développement de cette biodiversité pyrénéenne déjà remarquable (Natura 2000). Ce sera sans doute au Comité de Massif de répondre dans le cadre de l’élaboration de la stratégie pyrénéenne de valorisation de la biodiversité. Attendons la suite et la décision des élus dans ce domaine, l’avis des associations environnementalistes étant devenu accessoire et d’un intérêt très marginal.
Louis Dollo, le 26 février 2013
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Combien y a-t-il d’ours ? Où sont-ils ? Quels sont les dommages constatés ? La DREAL Midi-Pyrénées vient d’apporter quelques réponses et précisions sur ce sujet sensible dans les Pyrénées alors que des associations environnementalistes tentent d’occuper le terrain par des déclarations sans preuves, des procédures contre la France et des analyses statistiques sans grand intérêt face aux faits vécus sur le terrain.
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Le nombre d’ours augmente lentement mais surement. « … L'évolution de la population d'ours montre une dynamique lente mais croissante, essentiellement concentrée sur le secteur Ariège-Haute-Garonne » nous dit la DREAL. Pour être plus précis, il faudrait y rajouter le Val d’Aran puisque la cartographie de l’espace occupé par les ours en fait état. Mais comme l’ours ne connait pas les frontières administratives il serait plus réaliste de raisonner globalement, France + Espagne, autant en nombre qu’en présence d’ours et de dommages imputés au plantigrade. Un raisonnement strictement franco-français n’a pas plus de sens ici que pour apprécier le niveau de vulnérabilité de l’espèce en Europe, autre sujet manifestement manipulé par l’UICN-France.
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Dans cet ensemble, l’ours n’est qu’un tout petit aspect de la biodiversité dont la présence n’est pas indispensable à la vie des autres espèces. Mais est-ce qu’importer des ours de Slovénie ou d’ailleurs c’est défendre et développer la biodiversité pyrénéenne ? Il semble bien que non. Est-il vraiment raisonnable de conserver ces ours, sources de conflits au détriment d’une activité véritable point fort du développement de cette biodiversité pyrénéenne déjà remarquable (Natura 2000). Ce sera sans doute au Comité de Massif de répondre dans le cadre de l’élaboration de la stratégie pyrénéenne de valorisation de la biodiversité. Attendons la suite et la décision des élus dans ce domaine, l’avis des associations environnementalistes étant devenu accessoire et d’un intérêt très marginal.
Louis Dollo, le 26 février 2013
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