http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2012/11/24/la-fnsea-en-campagne
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« Il ne faut pas avoir peur du mot régulation », poursuit-il, « le nouveau gouvernement semble être plus à l’écoute, mais ils ne prendront aucune décision ferme ». Le loup aurait une image trop sympathique auprès du public.
« Il faut pourtant l’éliminer, cela ne peut plus durer » martèle le président de la FNSEA. Pour lui, le gouvernement ne veut pas se résoudre à cette mesure, trop impopulaire."
Une position claire et tranché...
Souhaitons que l'ensemble des autres syndicats seront aussi claire... ( si des articles, des communiqués de presse... ne nous sont pas parvenu merci de les envoyer, nous les publierons)
Mais il semble qu'il soit possible de vaincre la frilosité de l'état, si les syndicats nationaux lui réclament de respecter ces missions régaliennes dont l'obligation d'assurer la sécurité des biens et des personnes... de respecter ces lois: L.113-1, L.2212-2
Nous dirons donc a l'ensemble des syndicats comme a l'état nous attendons donc des actes
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Avant de travailler dans ce territoire, Pascal Raizer était plutôt pro-loup. « Et à le côtoyer, j’ai développé un certain respect devant lui, sa supériorité dans la stratégie par rapport à l’homme », lâche le berger en regardant la montagne par-dessus ses lunettes.
Mais, même malgré les bons résultats de sa lutte contre le loup, Pascal Raizer admet à regret que « l’élevage et le loup sont incompatibles ». "
Comme beaucoup, la cohabitation parait possible de loin, mais une fois confronté a la réalité... la position change radicalement pour rejoindre celle des éleveurs qui étaient décrié avant..
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Le loup, la préoccupation numéro un
Chemise impeccable, coiffure soignée, Xavier Beulin détonne au milieu des agriculteurs, tous plongés en pleine discussion. Le sujet du loup est incontournable. Avec 500 bêtes tuées dans le département depuis le début de l’année, selon la chambre d’agriculture, « c’est évidemment la préoccupation numéro un» assène Xavier Beulin.« Il ne faut pas avoir peur du mot régulation », poursuit-il, « le nouveau gouvernement semble être plus à l’écoute, mais ils ne prendront aucune décision ferme ». Le loup aurait une image trop sympathique auprès du public.
« Il faut pourtant l’éliminer, cela ne peut plus durer » martèle le président de la FNSEA. Pour lui, le gouvernement ne veut pas se résoudre à cette mesure, trop impopulaire."
Une position claire et tranché...
Souhaitons que l'ensemble des autres syndicats seront aussi claire... ( si des articles, des communiqués de presse... ne nous sont pas parvenu merci de les envoyer, nous les publierons)
Mais il semble qu'il soit possible de vaincre la frilosité de l'état, si les syndicats nationaux lui réclament de respecter ces missions régaliennes dont l'obligation d'assurer la sécurité des biens et des personnes... de respecter ces lois: L.113-1, L.2212-2
Nous dirons donc a l'ensemble des syndicats comme a l'état nous attendons donc des actes
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Avant de travailler dans ce territoire, Pascal Raizer était plutôt pro-loup. « Et à le côtoyer, j’ai développé un certain respect devant lui, sa supériorité dans la stratégie par rapport à l’homme », lâche le berger en regardant la montagne par-dessus ses lunettes.
Mais, même malgré les bons résultats de sa lutte contre le loup, Pascal Raizer admet à regret que « l’élevage et le loup sont incompatibles ». "
Comme beaucoup, la cohabitation parait possible de loin, mais une fois confronté a la réalité... la position change radicalement pour rejoindre celle des éleveurs qui étaient décrié avant..
Il ne vous aura pas échappé que M. Beulin est en campagne...
RépondreSupprimer"Chemise impeccable, coiffure soignée, Xavier Beulin détonne au milieu des agriculteurs"
RépondreSupprimerAutant traiter les agriculteurs locaux directement de pécores, ça sera plus clair...
On voit bien que l'ex-défenseur des céréaliers n'oublie pas que la moitié des débouchés de la production céréalières est constituée d'aliments pour bétail.
Et il ne faudrait pas non plus que ce soit à l'issue de son règne que la Conf' reprenne du poil de la bête.
C'est beau, la solidarité désintéressée...