mardi 5 juin 2012

Ouest des Vosges : « Un jeune loup »

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2012/05/12/ouest-des-vosges-un-jeune-loup
"« Le loup a disparu des Vosges depuis la fin du XIX e siècle, donc on y a appris un peu plus longtemps qu’ailleurs à vivre sans grand prédateur. Son retour crée des situations délicates sur un secteur économique très peu viable, les éleveurs faisant cela par passion et vivant souvent d’un autre métier. Il faut donc trouver des mesures qui dissuadent le loup. »"


L'important n'est pas de savoir si les métier d'éleveurs, bergers,... sont plus ou moins rentable que dresseur de loup. c'est une composante importante du tissu rural, car avec 7 emplois induits et non dé-localisable par éleveurs; le monde de l'élevage devrait être protégé par l'administration...

Au lieu de cela l'administration se met dans l'illégalité en n'assurant ni l'égalité entre les citoyens, ni la sécurité des biens et des personnes, ni ces propre loi: L 113.1, L427.9, L 2212.2...


Mais quel crédibilité apporter aux propos de cet ultra militant qui passe sont temps a montrer des loups nourrit par l'homme, donc moins dangereux...
C'est facile de dire que la cohabitation est possible quand on élève des loups, de faire passer les éleveurs pour des méchants car les loups que l'ont montre sont dressés et nourris pour cela,

Mais dans la réalité les loups "spaghetti" en France a défaut de décharge, ils mangent les chat du quartier, les perdrix et faisans lâchés par les chasseurs, les lièvres et lapins du petit bois...


Quand a l'Italie: les confidences faites au bord de la route du Giro sont bien loin de l'image véhiculé par les intégristes de l'environnement:" Le pépé les a tous tués"



1 commentaire:

  1. Rien de choquant dans l'augmentation du nombre de tir de loup autorisé...

    cela est nottoirement insuffisant car la population de loup auguemente de 30% par an depuis 20 ans...

    pour stabilisé la population il faudrait en prélever au minimum 60 en 2012, voir 150 si il y a 500 loups comme reconnu par un ex directeur de la nature et des paysages

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