http://www.lalsace.fr/actualite/2011/11/25/de-la-taiga-russe-aux-vosges-faire-coexister-le-loup-et-l-homme
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Quant à ce qu’elle préconise : « perturber le loup dans sa phase de recherche de nourriture » — après, dans la phase d’attaque, c’est trop tard : il ne s’arrêtera plus — en créant, autour des parcs, « des zones de non-confort psychologique » pour l’agresseur potentiel. Visuel : en attachant des ballons multicolores ou des bouteilles sur les enclos et en veillant à les déplacer régulièrement ( « pour éviter l’habituation ») ; olfactif : avec des désodorisants de voiture, par exemple ; ou encore auditif. Les éleveurs vosgiens avaient d’ailleurs précédé les suggestions de Vladimir et Lætitia. L’un lui a confié avoir « parfumé ses brebis » — « mais il l’a fait après avoir subi une première attaque et n’a pas pu éviter la suivante ».
D’autres avaient laissé des lampes allumées toute la nuit au milieu du troupeau, voire une radio ! Un autre encore avait « mis des cloches à certaines brebis : aucune ne s’est fait attaquer ». En tout cas, a témoigné la conférencière, « le dialogue s’est noué » et, malgré un premier réflexe défensif, « ils ont compris que nous ne sommes pas des écolos fanatiques »."
L'expérience russe n'apporte pas grand-chose de plus à ce qui a déjà été essayé en france, ils ont oublié de citer les pétards, les stroboscopes, la musique techno,...
Si les russes ne comptent que sur leurs fusils c'est que c'est la seul façon d'éduquer les loups.
A noter le rapport 40 000 loups, de 10 000 à 15 000 tués tous les ans.
En france si nous n'avons que 200 loups cela correspond à 50 à 75 loups par ans à prélever.
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