"bref une animation traditionnelle qui sauve les apparences car autour des parcs l'on continuait à commenter les événements de l'été sur les estives avec la confirmation que beaucoup d'éleveurs ne feraient pas la transhumance, ce qui signifie la mort à brève échéance des groupements pastoraux et l'abandon petit à petit de la montagne, avec toutes ses conséquences : enfrichement, fermeture du milieu (une brebis, c'est 2 ha de belle pelouse broutés et entretenus chaque été). Le président de la foire Jean-Claude Ferré et le maire Robert Zonch ont encore mis en évidence la contradiction de ceux qui prônent la biodiversité alors qu'ils la détruisent."
Mais comme dans espaces naturels sensibles ou les acteurs locaux sont virés, puis au bout de 5 à 10 ans de gros broyeurs sur pelleteuses viennent ouvrir le milieu... le tous à grand renfort de subvention!!!
Pendant un moment, j'ai cru que si l'élevage ovin de montagne et d'ailleurs déclinait, c'était parce qu'il n'était pas rentable et ne se maintenait qu'à grand coups de pognon public.
RépondreSupprimerMais en fait non : c'est à cause de 20 ours.
Merci de nous éclairer !