http://www.drome-hebdo.fr/blog/2013/06/11/une-convention-de-partenariat-%C2%AB%C2%A0pastoralisme-faune-sauvage-et-biodiversite%C2%A0%C2%BB-a-ete-signee-a-la-sous-prefecture-de-die-en-presence-de-guillaume-thirard-sous-prefet-l%E2%80%99adem/
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Les co-signataires entendent ainsi poursuivre leur volonté de conjuguer leurs efforts au profit d’une agriculture insérée dans l’économie favorisant de surcroit la prise en compte de la faune sauvage et de ses habitats. Cette volonté nationale se concrétise en 2013 dans la Drôme par la mise en œuvre d’un projet « Agrifaune » intitulé « pastoralisme, faune sauvage et biodiversité ». Actuellement, les activités pastorales et cynégétiques s’envisagent de manière indépendante avec peu d’échanges. Cette situation n’est pas satisfaisante au regard des enjeux, de sorte que le partenariat et la concertation entre les acteurs de la convention permettront, en s’appuyant sur des diagnostics partagés relatifs aux habitats du tétras-lyre et aux activités pastorales, de croiser les enjeux pour aboutir à l’élaboration d’un document de gestion partagé pour chaque alpage concerné par la démarche « agrifaune ».
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La biodiversité et la faune sauvage ne s'arrête pas au seul tétras qui sont aussi victimes des randonneurs, skieurs, et musher ...
Nous nous rappelons une citation du diaporama de l'association le grand charnier :
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Les co-signataires entendent ainsi poursuivre leur volonté de conjuguer leurs efforts au profit d’une agriculture insérée dans l’économie favorisant de surcroit la prise en compte de la faune sauvage et de ses habitats. Cette volonté nationale se concrétise en 2013 dans la Drôme par la mise en œuvre d’un projet « Agrifaune » intitulé « pastoralisme, faune sauvage et biodiversité ». Actuellement, les activités pastorales et cynégétiques s’envisagent de manière indépendante avec peu d’échanges. Cette situation n’est pas satisfaisante au regard des enjeux, de sorte que le partenariat et la concertation entre les acteurs de la convention permettront, en s’appuyant sur des diagnostics partagés relatifs aux habitats du tétras-lyre et aux activités pastorales, de croiser les enjeux pour aboutir à l’élaboration d’un document de gestion partagé pour chaque alpage concerné par la démarche « agrifaune ».
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La biodiversité et la faune sauvage ne s'arrête pas au seul tétras qui sont aussi victimes des randonneurs, skieurs, et musher ...
Nous nous rappelons une citation du diaporama de l'association le grand charnier :
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Nous faisons nôtre cette réflexion d’un militant écologiste, homme de
terrain , conseiller régional Vert, Vice président d’un parc naturel (délégation à la biodiversité) en 1999.
« Sur la question de la bio-diversité, je m'interroge. En effet, si la présence du loup conduisait à stopper
les transhumances dans la réserve, nous aurions un envahissement par les pins à
crochets et une disparition de la pelouse d'altitude qui est aussi un réservoir
de bio-diversité (idem plus bas pour les prairies de pente et donc leurs orées).
Question aussi vis à vis des coqs de bruyères (dérangement et attaques pendant
l'hiver).
Finalement les défenseurs acharnés
du loup ne sont-ils pas en train de faire un choix emblématique parmi diverses
configurations possibles de biodiversité ? »
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Avec des "si", on mettrait Paris, en bouteille.....en attendant que s'est il passé depuis cette déclaration......chez les verts...rien, je pense...
RépondreSupprimerpas étonnant que cet avis plein de bon sens ne suscite des réactions et surtout actions, cela va à l'encontre des adimrateurs de la nature originelle, vieux mythe pour les bobos
RépondreSupprimermotonton
cet homme (il serait bon de donner son nom puisque c'est une citation) n'a pas à s'inquiéter.
RépondreSupprimerle pastoralisme ne disparaitra pas de la (des) réserves naturelles. On trouvera toujours des troupeaux transhumants pour venir entretenir la biodiversité de la réserve
Par contre en dehors de la réserves la où les troupeaux on déja commencé à disparaitre les pin noir ou sylvestres ont déja commencé à gagner, la biodiversité qui s'y interresse
harry haller
La prédation puisque c'est cela qui inquiète et effraie a toujours existé. L'humain se croit supérieur et éradique toute espèce l'empêchant de renflouer son porte monnaie
RépondreSupprimer(bien qu'au contraire il lui fait gagner des sous).
Chaque espèce a son utilité et si on s'instruisait un minimum on comprendrait vite que les grands prédateurs sont en minorité (mis à part l'humain bien sûr)et le resteront même en les laissant vivre leurs vies (mode de vie oblige).