http://www.ledauphine.com/savoie/2013/03/02/le-cadavre-etait-bien-celui-d-un-loup
"...
L’animal, probablement âgé, ne présentait que des traces de blessures anciennes (fractures de côtes, dents manquantes ou déchaussées…) et était dans un état d’épuisement physiologique sévère. Des analyses toxicologiques complémentaires sont actuellement menées.
Aucune autre information, ni photo, ne nous a été communiquée, mais on ne pourra s’empêcher de faire le rapprochement entre ce cadavre et le loup filmé par deux de nos lecteurs le 15 février. Ce jour-là, à Saint-Michel-de-Maurienne, deux promeneurs ont pu observer un loup dévorant un chevreuil. Le canidé apparaît “abîmé” et il s’agit peut-être du même animal.
...
"
Mais surtout ce que l'administration n'a pas communiqué c'est le bilan sanitaire:
Ce loup était-il porteur de zoonose ( maladie transmissible a l'homme)?
Ce loup était-il porteur de parasites transmissibles aux animaux domestiques ou a l'homme?
Comme depuis 20 ans, c'est la culture du secret qui est appliquée et qui laisse supposer tous les scénarios y compris ce lui de tchernobyl!
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L’animal, probablement âgé, ne présentait que des traces de blessures anciennes (fractures de côtes, dents manquantes ou déchaussées…) et était dans un état d’épuisement physiologique sévère. Des analyses toxicologiques complémentaires sont actuellement menées.
Aucune autre information, ni photo, ne nous a été communiquée, mais on ne pourra s’empêcher de faire le rapprochement entre ce cadavre et le loup filmé par deux de nos lecteurs le 15 février. Ce jour-là, à Saint-Michel-de-Maurienne, deux promeneurs ont pu observer un loup dévorant un chevreuil. Le canidé apparaît “abîmé” et il s’agit peut-être du même animal.
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Mais surtout ce que l'administration n'a pas communiqué c'est le bilan sanitaire:
Ce loup était-il porteur de zoonose ( maladie transmissible a l'homme)?
Ce loup était-il porteur de parasites transmissibles aux animaux domestiques ou a l'homme?
Comme depuis 20 ans, c'est la culture du secret qui est appliquée et qui laisse supposer tous les scénarios y compris ce lui de tchernobyl!
Que ce soit loup ou ours, on ne communique pas le bilan sanitaire alors qu'on le fait pour des isards, chamois, mouflons, sangliers, chevreuils.... Lorsqu'il s'agit de loup ou d'ours voir de Lynx il ne se fait pas une enquête zootechnique mais une enquête criminel. Nous sombrons eplein délire parano.
RépondreSupprimerIl serait peut-être temps de retomber sur terre et admettre deux choses :
1/ loups et ours peuvent mourir naturellement comme tout être humain ou par accident simplement
2/ la non acceptation sociale, le laxisme des services del'Etat, enrainent des comportements de rejets qui vont jusqu'à la dstruction de l'animal gênant notamment l'animal qui détruit l'outil de travail. Même si cela est illégal, il n'y a rien d'étonnant à ce comportement créé par les services de l'Etat qui vivgent dans le mensonge et la manipulation (Cf. Manipulation de l'UICN notamment)